Mon mari de la mafia
matique, et terriblement séduisant. Elle s'était jetée à corps perdu dans cette relation, ignorant les petits drapeaux rouges qui se dressaient
il ne devienne sa prison. Une dispute avait éclaté, encore une fois pour une raison insignifiante. Mais cette fois, la colère de Luca n'ava
nt avec seulement un sac et l'espoir ténu d'une nouvelle vie. Mais les cicatrices de cet
devant la fenêtre, une ombre fugace dans la pénombre. Elle se redr
da de sortir. L'air frais de Monteve
ois ciré et le vin. Marco, le barman, était derrière le comptoir, une cigarette éteinte coinc
ire moqueur aux lèvres. « Ça fait un bail, hein ? T'es revenue pour rénov
oujours eu ce don de mettre les gens à
deux, » répondit-elle e
e vin rouge sans qu'elle
ge ? Ça n'a pas trop changé, si ? » de
ussa les
es mêmes collines. Mais les gens, e
clata d
e veux dire ? Regarde les Mancini. Sophia est devenue une vraie langue de vipère, si tu veux mon avis. Et
mention des Ricci, mais elle
Ils sont si infl
a les sourc
ici. Les terres, les affaires... Et Damiano, le fils prod
gée de vin pour m
n informé, » dit-e
es gens viennent ici, ils boivent
'éloigner pour servir un autre client
arches du perron, fatiguée mais apaisée par sa soirée. Le silence de
e salon, prête à reprendre la lecture du carnet de son p
, là où elle était certaine de ne pas l'avoir laissé
une feuille pliée à l'intérieur. Elle l'ouvrit avec des d
père est plus proche
ui avait laissé cette lettre ? Et su
e souffle du vent qui glissait entre les collines. Elena avait à peine dormi après avoir découvert la lettre. Le papier, maintena
'immobiliser. Elle devait comprendre ce qui se passait, et cela commençait p
res conversations s'entendaient, pleines d'intonations typiques des commérages. Non loin, elle ape
ut soudain attirée p
reconnut aussitôt : Lorenzo Mancini, le cousin de Sophia. Lorenzo avait toujours eu u
x tranchante. « Tu sais très bien que ces terres n'ont jamais é
sait plus calme, mais un éclat de
ien fait pour ces terres depuis des années. Tu préfères les vendre
mais c'était un
sont aussi sales que les miennes, peut-être même pl
it quelque chose de profond, d'ancien, qui les opposait. Les regards des quelques vil
Damiano, un mépris visible dans sa voix. Il tourna les talons et s'éloigna
instant avant de
ano, att
de suite. Puis, lentement, il pivo
e ? » demanda-
elques pas de lui,
asse avec Lorenzo ? Po
pira, visib
er en dehors de ça, Elena.
sourcils, piqu
dre. Tu parles d'héritage, de trahison... Ça s
rement, un mélange d'ét
e... Antoni
hocha
e connai
'il ne puisse répondre, une v
Elen
loin, agitant la main po
miano, qui se contenta d'un hoch