UN AMOUR SOUS CHANTAGE

agistrale dont il a masqué les principaux sujets de ses peintures dans les ombres, forçant à contempler l'essence même du bien et du ma

s sur le portrait, mais s'ils étaient riches, je s

ules et fit un geste de la main en direction de ce que la plupart des amateurs d

elle avait l'habitude de côtoyer des hommes puissants qui utilisaient leurs vêtements pour annoncer leur statut. D'ap

Maggie avec des hommes vicieux et sans scrupules jetaient-elles une ombre longue et sinistre sur son présent. Employée comme serveuse dans l'un des clubs masculins les

danse tordue avec la morale. À travers ses yeux vigilants, elle avait vu le bon, le mauvais et le carrément laid de la richesse. Les riches n'étaient pas des parangons de réussite. Ils étaient généralement de pathétiques marionnettistes tirant les fice

isait pas partie de l'élite fortunée de ce monde. Il était évidemment aisé, mais il n'h

ui, apparemment, appréciait

la tête. « Pour être honnête, je n'ai pas récemment réflé

es. » Puis elle se retourna pour regarder le tableau, ses traits se transformant en

dentelle, puis il rigola. « Non. Je suis soulagé que nous ne vivions pl

e que les gens qui regardent l'autopsie. » Elle leva les yeux vers l'homme à côté d'elle, fronçant le nez. « Tous ces

tivement, puis se reculer à son tour. De toute évidence, il

dit-il, ses sourcils n

le passa au tableau suivant. Elle retint son souffle avec enthousiasme lorsque l'homme s'avança a

ence tandis qu'ils c

mmes en blanc sont bons o

nt le capitaine et son lieutenant dans des couleurs plus claires, peut-être pour démontrer leur autorité. » Elle pinça les lèvres avant de dire : « Ou peut-êt

lus sur sa propre vie que sur les images du tableau. Et il y avai

ts se crisper en poings de colère. Ramit voulait savoir qui

ant un autre sujet de commentaire. « J'aime la façon dont le peintre a inclus

ièrent tous les deux le travail artistique. Puis Mag

surpris et M

our en observer davantage les détails. « Non », rép

urire. « Il n'y a qu'une se

tourna vers elle. « Devrait-il y en avoir plus ? Ce type de tableaux a ét

ste cette fois. « Tu as raison

aient-elles présentes sur ce tableau ? Elles ne gardaient pas la ville, ell

cile avec ses longues jambes. Avec ses baskets, elle mesu

'approcha un peu plus cette fois. « Pourquoi le peintre ajoute

mme seule dans le tableau montre que Rembrandt ne considérait

» demanda-t-i