MON EX MARI MA TENTATION

ses marionnettes. Il ne tolère aucune plainte, même la plus petite. Tous les di

re de la famille de Christine. J'aime tellement ça que j'oublie de rentrer plus tôt à la

me saisit par les cheveux et me traîne jusqu'au canapé. J

ec sa ceinture, mais quand il commence à retirer sa chemise, c'est là que je réalise ce qu'il est en train de faire. Il me saisit les mains et les épingle au-dessus de ma tête. Je hurle comme une folle, essayant de le combattre de toutes m

er. J'essaie de lui donner des coups de pied, mais il me plaque contre son corps, me gifle si fort et me frappe au ventre si fort que je manque de m'évanouir. Je me sens si faible. Puis je v

tient, car je suis presque sans force. Juste au moment où nous atteignons la petite porte, mon beau-père nous rattrape

mal. Puis j'entends un bruit sourd. Je vois ma mère allongée au sol, se tenant le ventre.

!" je crie. Puis j'entends les sirènes d'une voiture de poli

'essaie de parler à ma mère, je fais

tout ce que j'ai. S'il te plaît, bats-toi pour m

ne, elle fait signe pour que j

eux y arriver... mais je veux que tu

e est en train de dire. Tout ce que je veu

promets-moi que tu ne m

n bébé..." souffle

t, ne parle pas. Garde juste tes force

se resserrer u

la secoue pour la réveiller. Puis je vois les secouristes s'occuper d'elle. Nous arrivons à l'hôpital. Après cela, je n'arrive presque plus à me souvenir de

! Ma mère n'est pas

pré

i vu Christine agiter sa

parlé, mais tu sembles être dans tes pensé

Je viens de me rap

uant mon expression triste. Elle se

soin d'une pause. Allons quelque p

ù al

vas

'ai pas tout

laisse ça à Nancy." El

e de protester, mai

it-elle d'une voix

e vue d

de ne rien porter. C'est trop court", me pla

es. Regarde-toi, tu

de nouvea

beaux et des talons aiguilles. Je laisse juste mes cheveux bouclés lâchés. Mes boucles d'oreilles br

ousiasme. J'attrape le cardigan

pression que mes oreilles vont exp

i ?" lui demande-je, presque en cr

s une table libre et Christine va au bar pour passer co

-je. Je sais que c'est une boisson al

'amaretto." Elle m'explique et prend une gorgée tout en regardant les g

t à elle-même. Je suis son regard et là je vois l'homme le plus

i est