La fiancée du Milliardaire
pit
mure dans le vent, presque inaudible, mais suffisant pour lui donner des frissons. Une sensation d'étouffement la saisissait chaque fois qu'elle détournait les ye
ui lançait des ordre
e-le dans ta chambre, s'il te plaît. Et essaie de
carton, mais pa
ne à trimballer vos affaires... Merci po
envoûtante. Elle n'avait pas encore remarqué le manoir. Ce n'est qu'en déposant le carton sur son bureau qu'elle leva les yeux. Et il était l
de détourner le regard. C'était pr
? lança son frère en
Ri
pnotisée, t'as
répond
per aux récriminations incessantes de sa mère et aux plaintes monotones de son frère. Elle
ondes et vivantes, comme si elles la guettaient. Elle n'hésita pourtant qu'un instant avan
illis rassurants, pas de bruissements légers. Juste un silence étouffant, e
pas fait une erreur. Ses mains moites serraient les sangl
erd
écarquillés. Un garçon se tenait là, à quelques pas d'elle. Jeune, peut-être un peu plus âgé qu'elle. Ses cheveux noirs
. Qui êtes-vous
question, c'est plutôt : que fais-tu
bougea pas. Pas même un muscle. Ses yeux rest
e, c'est tout. C'est
gmatique effle
terdit.
ules, tentant de di
alors ? Vo
forêt. Toi, tu
t à partir, mais Cl
ans cette maison, là-haut
s s'était raidi à sa question. Mais il n'y eut auc
tre. Pou
depuis ma fenêtre. El
dit-il simplement avant de
t, son cœur battait la chamade. Ce garçon, cette rencontre... Quelque chose n'allait pa
mée. Une seule fenêtre. Un point lumineux dans l'obscurité, qui s