L'amour du PDG dominateur
les papiers pour les cacher dans le tiroir de sa table de chevet. La porte s'ouvrit doucement, et l
ue tu dormirais déjà, dit-il en retirant sa
urire, bien que son esto
répondit-elle, sa voix plus ai
i la déstabilisa. Comment pouvait-il agir avec autant de naturel al
? demanda-t-il en s'asseyant à côté
gard, incapable de
e fatiguée,
cils, comme s'il sentait que quelque chose clochait. Il a
a pas ? Tu sais que tu peux
a colère et son doute. Elle se dégagea brusquement, se levant
dire ? demanda-t-elle, un rire
n éclat d'inquiét
tu insinues ? Cl
es bras, le r
honnête avec moi. Est-ce que... Est-ce que tu as quelque ch
nnerre. Léo la fixa, bouche bée, comm
? demanda-t-il, son ton oscillant
lui, ses émotions
ce que tu étais impliqué, toi ou ta
sage se fermant com
racontes. Et franchement, je suis blessé qu
uation contre moi, Léo !
dans ses cheveux,
nter contre moi, répondit-il froidement. Et appa
, ébranlée
qui compte, c'est que tout
gea, son rega
gers plutôt que moi ? Vraiment, Claire
e. Elle se mordit la lèvre, hésitant. Était-elle en train de se tr
e. Mais... Mais si c'est vrai ? Si tout
attrapant douce
ime. Et jamais, jamais je ne te ferais de mal. Alors, s
tit ses doutes vaciller, mais une part d'elle restait sur
mps pour réfléchir,
es se serrant légèrement
ache que je suis l
s, se détournant po
nsées toujours embrouillées. Elle savait qu'elle ne pouvait pas se f
e tomba sur un nom qui attira son attention : **Vincent Arnault**. Sa réputation le précédait. Un homme brillant, mais cynique, connu
a le numéro. Une voix masculine, grav
ent Ar
it sa gorge
Vallier. J'ai besoin de vos services
puis un léger rir
se que vous êtes prête à découvrir des chos
serra l
suis
x heures. Et préparez-vous, mademoiselle Val
mpre. Elle savait qu'en franchissant cette étape, elle ouvrait une porte qu'elle ne pourrait plus re
**Vincent Arnault serait-il vraiment son all
laire vers le bureau de Vincent Arnault. Elle n'avait pas fermé l'œil de la nuit. Chaque fois qu'elle essayait de s'endormir, le visage d
s franchit la porte. L'intérieur était froid, impersonnel, dominé par des tons gris et blancs. Une secrétaire lui fit signe d'attendre sur une chai
Vallier, c'es
ahissaient une lassitude bien ancrée. Ses cheveux noirs en désordre semblaient ignorer toute tentative de discipline, et un léger début de barbe encadrait son visage angule
nfirmation de ce que vous voulez entendre ? lança-t-
dite un instant av
e qui est vrai. Pa
tique étira les l
es les victimes. Mais très bie
estes précis, presque mécaniques, puis commença à parcourir les documents. Le silence qui suivit était oppressan
n soupir et s'ados
tique. Pas de