Un an pour la séduire
parfaitement alignées, comme si chaque rangée avait été plantée avec une rigueur militaire. Cela semblait si éloigné de mon monde. Mes pensées s'égaraient vers l'endroit où tout avait c
allure fatiguée, jeta un co
ademoiselle ? On n'en voit pas be
orçai à
, c'e
acharnée ? Ce n'était pas comme si je cadrais avec leur image d'élégance aristocratique. Pourtant, la lettre était claire : invitation
r semblait tout droit sorti d'un conte gothique. Ses façades en pierr
le chauffeur en sortant ma valise du
costume parfaitement ajusté, ses cheveux bruns impeccablement coiffés, et son regard froid me firent comprendre qu'il n'éta
ents. J'avais opté pour une tenue sobre mais propre : un pantalon noir, une
el ? demanda-t-il, d'u
el Montclair, répondis-je en te
a tête, sa
ivez
e un mot de bienvenue, rien. L'entrée était aussi froide que lui : un vaste hall dominé pa
d'un pas rapide. Pas pour des vacances. La lettre était peut-être fl
ncer des dents, mais j
m'inviter, dis-je enfin,
onse. Ses yeux semblaient évaluer si je mentais ou
ée de boiseries sombres. Gabriel s'arrêta au cent
recouverte de livres et de documents. Chaque matin, vous recevrez des i
ai les s
e ne suis pas une pri
ue chose qui ressemblait vaguement à un
les règles s
rd s'arrêta sur un carnet posé au centre. Les init
z tout cont
sa un s
s avez remarqué, alors oui
êcher de répond
yablement agréab
ent de sourcils. Il s'apprêtait à répondre, m
acté dans son allure, entra dans l
à en train de terror
s le moment, répliqu
is avant de se tourner vers moi. Vous devez êt
vec l'attitude glaciale de Gabriel. Je lui serrai la mai
Me
nt sur un fauteuil, jetant
able avec elle. Après tout
is je pouvais sentir la ten
sur la table. Mon esprit était en ébullition. Pourquoi avais-je accepté cette propositi
is-je fait pour mériter une telle hostilité dès mon arrivée ? Et pourquoi Gabr
it eu, comme s'il voyait quelque chose en moi qu'il n'arri
endroit allait être tout s
ue chez les Montclair. Après avoir laissé ma valise dans une chambre qui ressemblait davantage à une suit
oissait plus que je ne voulais l'admettre. Gabriel m'avait donné u
nce et de tension palpable. Gabriel était là, droit comme un piquet, un verre
ir, un sourire moqueur aux lèvres. Ses cheveux blonds parfaitement coiffés lui donn
invitée, lança L
rds se tournè
mplicité déconcertante, mais son aura dégageait une intelligence froide. Il ne me s
près de la cheminée. Contrairement aux autres,
Il jonglait avec une pomme et riait à une plaisant
en essayant de p
dit Étienne. Bie
Étienne, railla Louis. Elle pou
s le moment, intervi
s, mais son sourire pro
pensez de notre humble demeure ? dem
répondis-je honnêtement, mê
z ça, Gabriel ? Notre invitée trouve notre maison impressionnante. P
son frère et se
annonça-t-il, coupant