Un an pour la séduire
pour explorer davantage la maison. Les couloirs étaient silencieux, éclairés
s les jardins, avec une lanterne à la main. Il semblait c
excitation et de nervosité. Gabriel regarda autour de lui, comme s'il cra
homme aux avertissements mystérieux, avait décidéme
ées par le vent. Depuis ma fenêtre, je fixais l'endroit où Gabriel avait disparu un peu plus tôt. Quelque chose, dan
veste et des chaussures silencieuses, m'assurant que les autres dans la maison étaient bien endormis. Le
rêtais pas attention. J'avançai en direction des jar
accroupis derrière un buisson, essayant de rester aussi discrète que possible, bien
ière. Il jeta un regard autour de lui avant d'ouvrir la porte d'un geste rapide. La lumière de s
ès d'une table en bois. Il sortit une enveloppe épaisse de sa veste et la glissa sous un pot de fleurs fanées. Mon esprit
s. Un craquement résonna derrière moi, et avant que je
pionne, ici ? chuchota une
vement pour découvrir Louis, un
fais là ? soufflai-je, tent
t-ce que toi , tu fais là, Alicia
ulais juste p
it, et il se pencha
'es pas très do
mal à l'aise. Son regard
cher, Louis. Ça n
arde, dit-il en traînant ses mots. Après t
ai instinctivement, jusqu'à ce qu
a, dis-je
s jouer ? demanda-t-il, so
it sursauter tous les deux. Gabriel sortait de la serre, jetant un d
ouis, je me glissai hors de son
à voix basse, mais
on, certaines complètement desséchées, d'autres envahies par des toiles d'araignées. Je m'approchai de la tab
ment l'ouvrir ? Une petite voix en moi criait que c'
. Les mots écrits à l'encre noire étaient partiellement effacé
à honorer avant l
elle dette ? Et pourquoi semblait-el
e temps d'en l
est-ce que t
derrière moi, me faisant p
ondis-je sèchement en gliss
de reddition, mais son sour
sais, tu devrais vraiment
Certaine
serre, essayant d'ignorer les
eur de ma lampe de chevet. La majorité du texte était illisible, mais les quelques
iel, Louis, Victor, Mathias, Étienne... Chacun semblait jouer un rôl
s avertissements de Gabriel ou les provocations de Louis, je découvrirais la vérité
: Un dîne
nt, la tension dans mes épaules trahissait l'agitation qui grondait en moi. Les Montclair avaient tous un rôle à jouer da
ants, entourée de lourds rideaux pourpres et de portraits imposants des ancêt
abitude, arborait un sourire charmeur, tandis que Mathias semblait perdu dans ses pensées, ses doigts jouant distraitement avec une fourche
emier, comme pour briser un
vous commencez à comprendre que votre présence ici n'es
s moi. Je relevai la tête, re
m'a bien fait comprendre que je n'étais pas
que Mathias leva un sourcil, v
que vous semblez si désireux de souligner ma position. Pourquoi ne
in avec une lenteur délibér
si simple, dit-il
le avec vous, répliquai-
rire de Louis f
aime votre audace, dit-il en lev
re, mais Louis se contenta de hausser les
Louis, gro
ère. Tu ne peux pas la blâm
st as