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Un an pour la séduire

Chapitre 2 Chapitre 2

Nombre de mots : 1209    |    Mis à jour : 04/01/2025

gue table en bois massif trônait au centre, entourée de chaises ornées de sculpt

rant que leur compagnie serait moins oppr

rrompu uniquement par le cliquetis des couverts. Mais, f

èrement vers moi, que faisiez-vous avant d

les regards se

vation dans l'aéronautique, répondis-

l'étonnement. Et moi qui pensais que vous

s'éleva, probabl

intervint Étien

ation, c'est tout, répondit

ais écouter au lieu de

modèle d'écoute, peut-être ? rép

sayant de me concentrer sur mon assiette. Mais Lou

x, Gabriel a toujours eu une certaine... difficulté à acce

da Gabriel, son ton plus

la vérité, continua Louis

ne pas répondre. Mais intérieur

r m'éloigner de l'ambiance tendue. Je parcourais les couloirs déserts, observant le

Elle contrastait avec les autres, plus ancienne e

le bois, sentant une étrange

ne pas traîner ici, dit

pour voir Victor, adossé au m

isais que regarder,

ées en paix, murmura-t-il avant de

sa perplexe. Que ca

bre, des voix attirèrent mon attenti

Gabriel, dit une voix que je

hoix, répondit Gabriel,

le déco

rien, coupa Gabriel

vit, puis des bruits

ils ? Et pourquoi avais-je l'impression d'être au

j'avais entendue entre Gabriel et Étienne la veille n'avait pas cessé de me perturber. Leur ton, la ten

ait baignée d'une lumière dorée, filtrée par les grandes fenêtres. Je m'arrêtai net en voyant Vi

présence ici complique tout, c

s avons besoin d'elle, répliqua G

tête avec une exa

feu, Gabriel. Tu sa

briel, serrant les dents. Et toi, tu ferais bien de t

nsion presque physique. Je me raclai légèrement la g

r, me remarquant le pre

ers moi, son regard

our les discussions matinales, lança-t-il av

oideur de Gabriel et l'étrange s

Victor avec un sourire qui se voula

-je, prenant une tasse

sensation persistante qu'ils me considéraient comme

le jardin. Le plus jeune des frères semblait cons

cria-t-il en co

, dis-je avec un

es-tu dans notr

? répétai-je ave

mystérieuses... Il fit un geste dramatique avec ses mains.

ague, mais il y avait quelque chose d

épondis-je en c

clin d'œil. Mais si tu veux explorer, je con

vais me débrouil

is un sourire espiègle ét

malicieux. Lorsque je rentrai dans ma chambre, un seau d'eau glacée t

as ? criai-je, trempé

deux de rire, inc

ague, dit-il enfin, essuyan

ant vers lui, tremblante de colère e

ens, dét

console et le renversai sur lui. L'eau qu'il contenait éclabous

est quittes, dis-je sèc

ant figé avant d'écla

Je crois qu'on va bien

, mais je ne pus m'empêch

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