Ma liaison avec l'Alpha
était imposante, froide, et pourtant elle regorgeait de souvenirs. Elle se rappelait les premiers jours où il l'avait recueillie après la mort brutale de ses parents. À treize ans, elle ét
jours eu pour lui... s'était métamorphosé en une autre émotion, beaucoup plus complexe, troublante. Elle ne voulait pas y penser, mais ses pensées la trahissa
ut était calme, où elle pouvait se perdre dans ses pensées sans interruption. Mais ce soir, une lueur de lumière filtrait sous la porte du bureau de Gabriel
isse, hésitant un instant. Puis, doucement, elle la poussa légèrement, j
e qui laissait deviner un corps parfait. Mais ce n'était pas son apparence qui accaparait l'attention de Léa. C'était la proximité entre elle et Gabriel. Il se tenait si près d'elle, une main posée sur son bras, ses yeux plongés dans les
ant un souffle tremblant. Elle voulait partir, mais ses pieds refusaient de bouger. Pourquoi cela la bouleversait-il autant ? Pourquoi cette vision
La voix de la femme, douce et légèrement rauque, t
cette fois, elle portait une intimité qui fit frissonner Léa. Elle recula encore, cette fois plus rapidement, et monta les
dans son esprit. Qui était cette femme ? Depuis quand Gabriel avait-il quelqu'un dans sa vie qu'il ne lui avai
nt ses pensées. La jalousie – car c'était bien ce qu'elle ressentait – la consumait lentement, une émotion qu'elle n'avait jamais expérimentée auparavant. Et pou
afé à la main. Il était impeccablement habillé, comme toujours, dans un costume sombre qui accentuait son al
nda-t-il sans lever l
ndit-elle, sa voix un pe
x. « Pas vraiment, mais ce n'est pas important
emander, lui crier même, qui était cette Camille, mais elle se retint. Elle n'avait aucune
hésita, puis se ra
e vibra, interrompant le silence. Il décrocha rapidement, son expression changeant immédiat
e fais pas de bêtis
ta là, seule, un nœud dans la gorge. Léa savait qu'elle ne pouvait pas continuer ai