Le retour de mon ex petit-ami
doutes en une obsession : je devais parler à Adrien. Il était impossible qu'il ne soit pas lié à tout cela. Chaque détail semblait
structure principale. Le vent soufflait fort ce jour-là, portant avec lui l'odeur iodée de l
idé, mon cœur battant
Adri
yeux s'assombrirent lorsqu'il me reconnut, co
ton plat, laissant retomber
peine de l'approch
uer ça ?"* dis-je en
e, mais son visage s
je te dise ?"* répondit-il, sa
. Cette photo... Tu savais qu'elle était là. T
ux, et je vis sa m
uoi tu parles, Clara,"*
e fit l'effe
semble. Toujours à éviter les vraies discussions, à te cacher derrière tes
ondit-il, visiblement agacé. *"Je n
i nerveux ?"* lançai-je en crois
un geste que je connaissais bien. C'était sa façon
pour ressasser le passé ou m'embarquer dans
vant que je puisse répondre, il tourna les talons et s'éloigna, me
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ets marins. L'endroit était animé, rempli de rires et de discussions, mais je n'avais pas le cœur à me mêler
et c'est alors que Maeve Lennox fit son entrée, accompagnée de quelques membres de l'équipe. Sa présence imposant
avardant avec une aisance déconcertante. Mais ce fut une phra
le en faisant un geste théâtral. *"Comme si sauver ce phare all
une pointe d'amertume sous ses mots.
ne fit qu
ai le pub avant que quelqu'un ne remarque ma réaction. Je ne vo
ntes des réverbères éclairaient mon chemin. Je marchai rapidement, mes pensées tourbillonnant autour des mots de Maeve, de l'atti
ant de l'hôtel qu
tion du phare. Un grincement sourd, presque métallique, sui
ur s'a
, mes yeux fixés sur la silhoue
vis quel
tive qui bougeait rapidement
é rendait impossible de distinguer des détails, mais il était
je m'approcher ? Appeler quelqu'un ? Ou simplement ret
as vraiment un choix. Le phare, Adrien, la photo... t
e hantaient encore, cette silhouette étrange, ces bruits inhabituels venant du chantier... Tout semblait co
is cette curiosité entêtante, ce besoin presque viscéral de comprendre, m
résonner comme une alarme dans cette obscurité oppressante. L'air était glacé, mord
tèlement régulier venant de l'un des bâtiments annexes. Mon souffle se fi
enne et décrépite, avec des fenêtres couvertes de planches de bois. La porte principale était verrouillée, mais une fa
?"* murmurais-je, ma
, mais le brui
itante. Puis un bruit de pas derri
Clar
connaissable. Je me retournai pour voir Adrien, debou
ais ici ?"* demanda-t-
ais-je, me redressant pour masquer mon trouble.
moi, ses pas lour
ici. C'est dangereux, Cla
t. *"C'est une cabane, Adrien, pas une bombe. Pou
es traits se durciss
eu ?"* Il désigna le phare d'un geste brusque. *"Il y a des choses que tu devrais
croisant les bras. *"Tu n'as aucun droit de me dire q
lla entre nous. Il semblait chercher ses mots, comme si une parti
,"* finit-il par murmure
nfin. *"Explique-moi pourquoi tu es ici, pourquoi tu m'évites, po
chose que je ne pouvais pas décrypter. Puis il seco
,"* dit-il, plus d
t d'avoir de
. Il sortit une clé de sa poche et déverrouilla la serrure, mais avant qu'il n'entre, je vis s
lui, et je me retrouvai seu