Le retour de mon ex petit-ami
Adrien avait toujours été un maître dans l'art de me frustrer, mais cette fois, c'ét
it était trop agité. Je passai devant la réception, saluant distra
, émanant d'une chambre au fond du couloir. La porte était entrouverte
ne fois de plus
nt mon souffle, et poussai légèrement
phies, un plan du phare était étalé. Je m'avançai, mon regard attiré par
eurs fois, souligné de man
signifiait ce mot ? Et pourquoi Adrien se
ns le couloir. Je me précipitai hors de la chambre, refermant dou
sombre, avant d'entrer dans s
ile, mon esprit
, de plus dangereux en jeu ici. Et, d'une manière ou
e, presque étouffante. Malgré cela, je décidai de chercher Ewan. Ses récits, bien que souvent délirants, ét
ne usée. Il était assis sur un banc, le nez plongé dans un vieux livre relié de cuir. En m'
curieuse, hein ?"* dit-i
l'agitation qui ne me quittait plus depuis la veille. *"Tu as mentionné, la dern
n geste théâtral et tapo
es limbes, Clara ?"* demanda-t-
la tête,
marins égarés. Non, c'est un passage, une porte entre ce monde et un autre. Les disparit
omme s'il voyait des choses que mo
e ?"* répétai
s et les morts, ou peut-être entre deux réalités. Personne ne sait vraiment. Mais
quai-je, même si une part
les, un sourire myst
té. Méfie-toi, Clara. Ce phare... il attire ceux qui cherchen
ent en moi bien aprè
#
uipe. La table était encombrée de plans, de croquis et de dossiers. Maeve, comme à son habitude,
ses pensées. Ses doigts tapotaient nerveusement le
ue Maeve se tourna vers moi, un reg
e tes photographies,"* commença-t
tête, sentant
me si elle les savourait. *"Elles sont belles, certes, mais elles ne racontent rien. Et p
sous la table, luttan
rques,"* dis-je finalement, en
dire ?"* continua-t-elle, un
quelque chose, qu'il prenne ma défense ou au moins chan
échir à l'histoire que tu veux raconter avec tes ima
intervint enfin Adrien,
cil, visiblement su
entant de ravaler l'humiliation et
idement après cela, mais
#
Tout ce que je voulais, c'était un peu de calme pour réfléch
ant ma porte, j
it posée devant, sans aucune i
ant à tout rompre. Quelque chose dans son poi
ants. À l'intérieur, sur un lit de papie
ffle se
es sur minuit. Elle ressemblait étrangement à celle qu'Adrien portai
r plié en deux. Je le dépliai, découvrant
arrête toujou
le me traverser. Qui avait
la montre dans une main,
Adrien. Mais quoi qu'il en soit, je savais
quitté ma chambre, encore hantée par la vision de cette montre cassée, qu'Adrien m'attendait dans le couloir, ados
ourd'hui,"* lança-t-il sans préam
ble de cacher mon étonnement
de moi' pour quoi que ce soit, Adrien ?"* rétorquai-je, lais
dans ses cheveux sombres, v
droit isolé, près des falaises du nord. On doit captur
mander les choses gentiment, mais là, une urgence étrange transpara
ment. *"Mais ce n'est pas pou
pas un sourire heureux. C'était celui de