Un mariage avec le milliardaire secret
Gabriel haussa les épaules et retourna à son projet, marmonnant des instructions pour
d, Clara sentit sa patie
brusquement en voyant Gabriel tester des lumières cl
e machine révolutionnaire,* ré
plus à un sapin
tien,* répondit-il av
ofondément, se m
oncours, il faut qu'on soit sérieux. Ce ge
oment, son sourire s
a première personne à vraiment cro
lque chose dans son regard la stoppa. Ce n'éta
it ça,* murmura-
e dire. Ça se voit
brisé seulement par le bourdon
bien qu'elle ne soit pas certaine
, reprenant son trava
-
er chez elle, quand son téléphone vibra dans sa poche. Elle fronça les so
All
?* La voix était froi
, c'es
otre dette impayée. Vous avez r
t son estom
l'ai reçu,
as la somme due dans les trente prochains jours, nous sero
urs ?* s'étr
ment. Bon
l'appel. Clara resta figée, le combiné encore à l'oreil
t va b
a pour le voir debout, un tournevis à la main, son v
t,* mentit-elle, s
T'as l'air d'avo
te, tentant de mas
fatiguée. Je vais
d'insister, mais il se ravis
. On se voi
même une fois dehors, l'air frais de la nuit n'apaisa pas l'angoisse qui lui tordait les
on lui parcourut l'échine, non pas à cause du f
es pas précipités dans le couloir. Elle n'avait pas besoin de lever les yeux pour savoir que Gabriel était arrivé. Il avait cette
a-t-il, un sourire large illuminant son visage alors qu'i
ourcils se haussant avec
i, encore, c
le vide. La machine était un mélange de câbles, de rouages et de lum
centrer sur quelque chose de simple et de f
aussa les
. Fais-moi confiance, ça
machine. Un bourdonnement électrique s'éleva, accompagné d'un scintillement intermittent d
que ça ne va
avec un éclat de rire. *Non
d'étincelles avant de cracher une fumée noire. En une fraction de seconde, un coin de l'
rapant un extincteur à proximité et asperge
battant à tout rompre, ses mains
u quoi ?!* hurla-t-elle une fois le f
d, tenant l'extincteur com
n truc. Je suis désolé, Clara. Je
? Bien sûr que non, t
ifiée par la tournure qu'avaient pris les événements, terrifiée p
our répondre, mais elle le
dernière chance, Gabriel. Ma dernière chance ! Et toi,
. Pour la première fois, il sembla
dit-il doucement après u
, prise de court par
ce que tu
sant légèrement, comme s'il luttait contre une
er. Ce n'est p
e-toi,* insista-t-elle, sa vo
ta, puis lâc
, nos affaires, tout. Mon père avait des dettes, et un jour,
les bras croisés, mais
ésolée. Je n
a. Quand tu as l'impression que tout est sur le point de s'ef
, triturant le coin
la légère. Tu plaisantes, tu bric
n demi-sourire. *Si je m'arrête pour trop réfléchir, je m'effondre. A
e, mais pas aussi hostile qu'auparavant. Clara ouvrit la bouc
'on a là ? Le grand Gabr
arrogance et sa langue acérée. Elle était appuyée contre la porte, un sourire n
eux, Sophie ?* demand
e un partenaire... intéressant,* dit-elle en jetant un regard moqueur à Gabriel. *
esta silencieux. Clara, en revanche
n de constructif à dire,
avec un sourire innocent q
onnes parlent, tu sais. Elles disent que ton association avec un...
it son cœu
uoi tu
meurs. Mais tu sais comment ça va, dans notre m
ourna les talons et quitta l'atelier, lais
eur,* murmura Gabriel, posant
prend à moi publiquement, ça pou
la tête, le
ui prouvera q
pouvait s'empêcher de ressentir une boule