Lé dévoreuse de monde
pour cette raison que l'âge d'entrée se fait si tard, il faut que les élèves soient pleinement conscient de leurs capacités avant d'être en mesure de les contrôler. Durant tout le trajet
, cette dernière était dans un autre dortoir, dans une autre aile de l'école. Légèrement craintive face à l'idée d'affronter seule d'autres élèves, elle s'écarta et s'avança parmi les couloirs de pierre. Jamais elle n'avait eu loisir de contempler de tel décors, de grands tableaux représentant différentes créatures, loup garou, vampire, sorciers, s'affichaient sans crainte. Les scènes ne représentaient que des guerres, elle se surprit à les suivre comme si ils lui narraient une histoire encore inconnu. Le premier montrait un homme en armure portant une longue épée alors qu'il affrontait un sorcier. On pouvait clairement percevoir l'inquiétude sur le visage du chevalier alors que l'autre pointait une baguette en sa direction le tout au milieu d'une clairière mal éclairée. Sur le suivant, le chevalier était mort, il gisait dans une marre de sang pendant que le sorcier se portait triomphant à ces côtés. Puis la scène changeait, le même sorcier mais cette fois face à un féroce loup garou, la créature au regard aussi noire que l'enfer, semblait sûr de sa supériorité alors que le sorcier paraissait plus soucieux, puis vient sa mise à mort et le loup garou, tout crocs dehors, posant dans toute sa splendeur une pâte sur le cadavre ensanglanté. Et ce même loup garou faisant face à un vampire aux canines luisantes, elle le trouva presque trop beau pour être vrai et sur son visage aucune crainte ne se faisait sentir alors que son ennemi se tassait légèrement conscient de son i
er, s'y attacher comme a un nouveau membre. Mais pour Mya les choses étaient un peu différente. Elle s'en sortait bien avec une baguette, très bien même, mais elle n'aimait pas cette sensation et préférait reproduire les même sorts sans artifice à l'abri des regards. Rapidement elle réalisa que ces pouvoirs venaient de ce qui l'entourait, de la nature, des animaux, des végétaux, de cette énergie naturelle et puissante que la terre offrait. Elle parvenait à la sentir en se concentrant, presque la voir, mais quand elle le faisait, elle finissait par craindre cette force qui tentait d'entrer en elle, de la traverser et rapidement, elle eut l'étrange impression de n'être qu'un outils, un instrument de cette puissance, alors quand elle se sentait un peu trop prisonnière de tout ça, de cette force mystérieuse, elle retournait face à ce tableau qu'elle aimait tant. Depuis qu'elle était arrivée, elle avait fait des recherches sur cette étrange femme, elle apprit ainsi qu'elle fut la fondatrice de l'école, la première à croire aux mélanges des espèces, la première à penser que tous avaient une raison d'apprendre. Cette femme se nommait Islanda, personne n'était vraiment capable de dire ce qu'elle ét
aimé ce tableau à l'instant où on a posé le
que tu veu
uste savoir co
urqu
ue je sui
amie mais maintenant je ne le suis plus. Alors ne
èves de première année aimerait se mesurer à toi, si tu acceptais on aurait plus de chance d'attirer d'autres élèves. Je ne parle que de quelques sorts simpl
uoi je suis capable et surtout p
qu'une part de toi continuerait peut être à me considérer comme une a
y croire. Peut être que ça les rapprocherait de participer à ce club, peut être qu'elle retrouverait cette amie qui lui manqua
à ce que je fasse des prouesses,