Secrets et Rêves Brisés
ement. « Mélissa, non, je ne peux pas accept
'est juste... pour passer un bon moment ensemble, rien de plus. T
Pourtant, une part de lui ne pouvait s'empêcher de se sentir redevable, et même e
is pas sûr. » Il cherchait les bons mots, mais il sentait
an, je comprends. Ce n'est pas une question d'argent, mais simplement parce que j'aimerais passer du
avec les mêmes contraintes que lui. Elle avait grandi dans un monde où l'argent n'était pas une pr
ccord... mais seulement si tu promets de ne rien payer pour
s mains en signe de reddition.
un lac scintillant entouré de forêts luxuriantes. Dès leur arrivée, Évan fut ébloui par la beauté des lieux et par l'accueil chaleureux de la f
romener autour du lac. Le silence paisible des lieux, uniquement troublé par le cl
« Évan, parfois, j'ai l'impression que... la vie est tellement plus simple quand on s'éloig
que tu veux dire. C'est comme si... on pouvait enfin respire
actement. Avec toi, j'ai l'impression de pouvoir être sincère. Je n'a
rfois tomber son masque avec lui. Leurs mains se frôlèrent, et sans même réfléchir, il la prit doucem
'autre. Mais avant qu'ils n'aient eu le temps de céder à l'attraction qui les liait, le bruit d'une branch
er, » dit Mélissa, le
lle qu'il ne parvenait pas à décrire. Ils revinrent à la maison
installés dans le salon, un des cousins de M
e après tes études ? » demanda-t-i
ble. « J'aimerais pouvoir travailler dans un domaine qui me passionne vraiment. Mais pou
trigué. « Financer ? Je pensais
res, comprenant que peu ici pouvaient imaginer la réalité
e avec un sourire rassurant. « Il travaille beaucoup po
tout. Mélissa avait tenté de le défendre, mais il savait que pour la maj
rejoignit à l'extérieur, où il s'étai
passé, » murmura-t-elle en posant un
n'est pas de ta faute, Mélissa. Je sais que notre monde
. « Évan, tu n'as pas besoin de changer qui
t que quelque chose entre eux avait évolué. Mais il se promit de rester f
s du lac se mêlait à celui du café qui provenait de la cuisine. Il se leva avec une sensation de légèreté, encore marqué par la chaleur du moment qu'
e avait l'air joyeuse, chantonnant doucement en attendant que la poêle chauffe. Év
anta-t-il, s'appuyant con
minant son visage. « Bonjour, Monsieur Év
ir l'arôme sucré des crêpes. « Ça sent incroyable. Tu
rêt à le garder en sécurité, car je
ençait à le ronger. Plus ils passaient de temps ensemble, plus il se sentait tiré vers un monde où il n'avait pas sa