Secrets et Rêves Brisés
n'as rien à per
désagréable dans l'estomac. Mélissa s'approcha, son sourire chaleu
il curieux en direction de Paul qui s'éloignait. « Il avait
on malaise. « Oh, rien de grave.
insister. « D'accord alors ! Allons-y, j'ai beso
de son esprit. Le venin insidieux de ses propos avait planté un doute en lui, un doute qu'il n'aurait jamais cru possible.
ui avait remarqué son silence inhab
ue tout va bien ? T
ner les pensées troublantes qui l'envahissaient.
le essayait de lire dans son esprit. Puis el
tout me dire, Évan. Je
ce que Paul avait insinué, Évan savait au fond de lui que Mélissa n'était pas comme les autr
ne. Instantanément, il se souvint de la conversation qu'ils avaient eue, lorsque Mélissa lui avait dit en plaisantant qu'elle aimerait bien un nouvel iPhon
pas compte d'un geste comme celui-ci, et pourtant, elle pourrait comp
pour gagner son respect ou son affection. Lui, qui avait toujours méprisé les artifices et les biens s
approche aussi calculatrice. Cependant, il se promit d'observer les choses de plus près. Si Mélissa tenait
s par le travail. Mais, même après des heures de concentration, l'image de l'iPhone bril
déjeuner ensemble. À sa grande surprise, elle lui parla de ses
ton rêveur, les yeux fixés sur le ciel. « Voyager, découvrir d'autre
t. « Ce serait génial, Mélissa. Je crois que tu as t
voyait au-delà de ses mots. « Et toi, Évan ? Tu as des
t de pouvoir étudier sans avoir à m'inquiéter de l'argent. De pouvoir consacrer tout mon tem
dessinant sur son visage. « Ce n'est pas juste que tu
« C'est la vie. On fait
, comme si elle comprenait une vérité qu'il n'avait pas encore découverte. Pe
s en plus cette connexion spéciale avec Mélissa. Mais de l'autre, il ne pouvait ignorer les obstacles
r sa valeur, sans avoir recours à des gestes superficiels ou à des artifices. Il resterait fidèle à lui-même
profondes qui nourrissaient l'amitié, voire l'affection grandissante, entre eux. Évan commençait à ressentir quelque chose de sincère, quelque chose qui dépassait les s
s un café du campus, Mélissa posa brusquement son l
gner ce week-end ? Je vais chez ma tante qui vit dans une grande maison près du lac. Elle m'a
taine retenue. « Je ne sais pas, Mélissa... Je travaille le week-
exé. « Allez, Évan, ce n'est que pour deux jours ! Je su
ances. Mélissa n'avait peut-être pas conscience de l'effort que cela lui coûterait de rater
tout ? » proposa-t-elle finalement, capt