Les Héritiers du Milliardaire
pit
soin de ne pas partager le même véhicule. L'idée même de se retrouver enfermés ensemble a
ncore fiers. Aucune enseigne, aucun panneau pour guider. Juste une
ésonnèrent sur le sol en pierre tandis qu'il franchissait les grandes portes, une valise à
ns qui claquaient comme des coups de marteau su
e salut, un sourire qui n'en était p
es yeux de son télé
urs dans son monde numérique. Toujours à
este en cuir qui détonnait avec le décor raffiné. Il balaya
nt. Ça respire la
les bras. « O
de reddition. « Désolé de
» marmonna Adrian, sans dét
mais cette fois pour
ence imposait le silence. Il les guida à travers un dédale de cou
tes, » dit-il simplemen
ux. « On parie combien qu'il cac
les chaises, le lustre qui semblait trop bas. Quel
qu'il ouvrit d'un geste expert. Kael s'approcha de la cheminée
autres ? » demanda-t-il en débou
. « C'est ça, ton plan ? Boire jus
« Pourquoi pas ? Tu as
arcourut la pièce. Pas une brise, mais
un tableau accroché au mur. Adrian leva enf
sombre, une expression grave, presque accusatric
'il nous fixe,
des yeux. « Sé
Le tableau semblait vivant, ou peut-être était-ce
pprochant à son tou
vers le portrait comme pour trinquer. « À toi
traversa la pièce, rapide, insaisissable. Adrian re
nda Liliana, sa voix plus fe
avec une intensité inhabituelle. Adrian, lui, fixait le tab
etomba, plus lour
. « D'accord. C'est officiel
« Et on vient à pe
t, comme s'il avait
esdames. Le dî
. différent. Le regard de l'homme paraissait avoir c
iser le silence. « Allons-
er la sensation que quelque ch