Les Héritiers du Milliardaire
pit
e redressait, sa respiration hachée. L'assaut était parti aussi soudainement qu'il était arrivé, comme une vague de violence lancée sans avertissement. Les visages des assaillants
u. Kael ne répondit pas tout de suite. Il n'avait pas le temps de répondre. Les bruits de pas étaient déjà en train de se d
lus ferme, plus direct. « On doit
« On est trop exposés. Il fa
cade, cette violence brutale, il y avait quelque chose de plus grand derrière tout ça. Ils s
lles qui semblaient incompréhensibles à première vue. Mais il sentait qu'il y avait quelque chose là-dedans. Quelque chose qui allait tout expliquer. Ses yeux se plissèrent sur un document, un contrat a
t être parfait, ordonné. Rien ne devait échapper à son regard aiguisé. Mais plus elle fouillait, plus elle sentait qu'il y avait des failles, des anomalies. Chaque chiffre, chaque transaction semblait
e erreur pouvait être fatale. Mais elle n'avait jamais cru que ça irait aussi loin. Là, ce n'était pas simplement de l'argent qui se jo
ile de manipulations et de secrets. Plus elle avançait, plus elle se disait qu'il y avait quelque chose de beauc
sement dissimulés. Il était en train de comprendre quelque chose qu'il n'avait pas vu avant. Il y avait des liens entre les trois familles, plus forts que ce qu'il avait imaginé. Ils n'é
ent liés à des transactions secrètes, des biens cachés, des sociétés écrans. Mais derrière ces apparences, il percevait une dime
n avec les pièces qu'elle avait découvertes. Ce n'était pas une simple menace. Il y avait un plan derrière. Elle avait commencé à faire le lien entre les transactions
de tension. Elle s'approcha de la fenêtre, jetant un dernier coup d'œil sur les papiers éparpillés autour d'elle. Il fallait qu'
quelque chose de grand, de beaucoup plus grand qu'il ne l'avait imaginé. Mais il y avait toujours cette sensation, ce poids dans l'air, comme si quelqu'un les observait. L'agression n'était qu'une petite pièce du
e pouvoir. Il était en train de découvrir un univers bien plus vaste, un univers où ses ennemis étaient en réalité des alliés improbabl