De la cuisine au coeur
rit les yeux au son d'un léger
a voix grave de Marthe. Il
ras pour chasser le froid et enfila rapidement son uniforme. Une n
ffairée à préparer le petit-déjeuner de la famille.
, lui dit la cuisinière en lui tendan
pta avec re
la bibliothèque avec Monsieur Beau
a net en mâc
Dé
ues le tri des documents et que t
était pas certaine d'être prête à passer autant de temp
n'avait pa
de nouveau face à la grande porte
spira profondément et frap
, impeccablement vêtu d'un costume sombre. Il n
ordonna-t-i
ndit qu'il lui don
le une feuille couvert
e à la machine.
cha du bureau où une antique
s premiers mots. Elle n'avait pas l'habitude de ce genre d'appare
ence s
derrière elle, son regard perçan
lentement, comment
serra l
accélérer,
rythme plus soutenu, refusant de lu
pée à la machine. Il la prit sans un mot, la parco
orr
fierté l'envahir, mais
it-il après un i
elle, un éclat indéch
us accepté ce trav
es yeux, pris
in d'un emploi, répo
tête, comme s'il analysait
est
r s'accélérer. Que ch
, mon
e pesant
qu'il l'avait questionn
pouvez
nt avant de quitter la
mont était
ère dan
s'intéressait à elle d'une manièr
le. Elle s'efforça de ne pas y penser, mais une partie d'elle restait troublée. Pourqu
ua de percuter une autre domestiqu
jeune femme en rattrapant de j
'empressa de dire É
eux perçants, la toisa un inst
nouvelle,
i, É
nseil : ne traîne pas trop
ussa les
urqu
e seconde, puis h
ons sur lui... et que ceux qui attirent son attenti
ues, Pauline s'éloigna
visiblement bien des rum
elles étai
istante qu'elle s'était déjà trop approchée
re. Elle se chargea du linge, aida Marthe à la cuisine et assis
ations, une question resta
it Arthur
ue, d'une façon ou d'une autre, elle
endit des éclats de voix en provenance du hall principal. Elle échangea un reg
passe ? demanda-t
it Jeanne en secouant la tête. Ce n'est
ment un drap sur le tas et s'approcha du c
iscussion était close, Grégoir
ignorer ça, Art
er ne te c
s'installa. Élodie
régoire, dont la voix était plus calme
problème,
odie se recula précipitamment et retourna vers le li
elle sentit un regard peser sur elle. Elle releva lég
suffisant pour lui faire comp
tinua son chemin et
œur battant un peu plu
el était ce "jeu dangereux
chasser ces pensées et se
t déjà que ce s
blante. Quelque chose, chez Arthur Beaumont, l'intriguait et l'inquiétait à la fois. Il y avait ce myst
lui parcour
ie ? lança Marthe en en
es draps, répondit-elle rapidement e
un instant avant
soin d'un coup de main
, rangea le linge et suivi
la grande salle à manger. Élodie n'avait jamais mis les pieds dans cette pièce, mais elle s'imaginait sans mal l'atmosphère qui devait y régner : un silence élégant,
er des légumes lorsqu'un
toi, la
brune aux traits sévères, vêtue d'une robe élégant
dit-elle en baissant
va un instant, l
sse Beaumont, l
poitrine. Cette femme respirait l'autorité et
ici depuis com
s peu,
dernière fois, puis es
ille. Ce manoir a englou
les talons et q
doigts crispés autour du
t-elle dir
était entrée dans cette maison, chaque mot, c
nnaient encore dans son esprit. "Ce manoir a englouti bien des âmes naïves." Que
a la tête. Ce n'était pas le momen
anda Marthe en s'approch
n, je crois,
r à tout le monde qu'elle est la sœur de Monsieur, co
e vouloir me préveni
essuyant ses mai
ues, on ne sait pas tout. Mais un conseil, Élodie : fais to
au fond d'elle, elle savait qu'elle n
, Élodie profita d'un moment de répit pour sortir quelques insta
du manoir, observant les lumières v
gea à l'étage. Une sil
th
de la fenêtre, observant
uelq
'emballer lorsqu'elle ré
apable de détourner les yeux. Il n'avait pas
cula et disparut dans
a enfin, les
n'allait pas a
, malgré tous les avertissements, elle