De fil en aiguille...
maines par an sur la côte d'Albâtre dans une de leurs résidences secondaires. Jules
même si l'on suivait des yeux le chemin taillé dans la roche qui permettait d'y accéder et qui semblait continuer au-delà. Intriguées, elles avaient rejoint le haut de la falai
tiers que son travail l'appelant à Paris la plupart du temps, il pourrait profiter de la quiétude de sa solitude plus souvent.
ulait demander le divorce, il est préfér
e sur sa terrasse. Elle était de plus en plus inquiète et elle se remémora tous les événements passé
de décembre 1988 pour être plus précis, el
Elle avait trouvé une double confirmation en fouillant dans ses affaires. Jules lui faisait entièrement confiance, ce en quoi il avait presque raison, et il avait gardé dans une poche un papier sur lequel était noté un
était certaine qu'il avait profité de son absence un après-midi pour amener sa maîtresse chez eux. C'est
it la première fois en vingt-trois ans de vie commune que Jules la trompait, e
lle n'avait plus de biens propres et elle s'était retrouvée totalement dépendante financièrement. Elle savait que Jules lu
us tard, son mond
été arrêtée pour le meu
esthésiée par le Martini. Elle regarda sa montre. Karine avait deux heures de retard. Il restait
épart pour la Nouvelle-Zélande et l'argent qui accompagnait le billet pouvait en allécher plus d'un. De plus, cette somme corr
rine quand elle l'avait entendue parler à son amie, cer
il y a quinze jours et ça me semble une éternité. Je vais le voi
raiment l'ai
tu vas adorer le bar musical dans lequel on investit, je sais que tu as déjà vu les photos mais tu ne peux pas vraiment te rendre compte
té de Karine. Elle ne pouvait imaginer qu
e onze mois à travailler avant de pouvoir partir. Il faut encore finir de payer le bar et donner un apport correct pour acheter la maison qui nou
hercher l'argent qui lui permettait de gagner
entiment fut la déception en entendant une voix masculine puis une peur infâme la submergea qua
avoir de pire que la senten
gré les circonstances atténuantes, le verdict avait été sans
heur comme dans la douleur, on peut toujours aller
vait sauvée. Elle était restée plus d'une heure dans le coma. Il aurait suffi de quelqu
dier dans toute son âme : la haine pour son mari qui n'avait pas bougé le petit doigt pour Alice, la haine pour cet avocat qui n'avait pas
Il n'y avait plus qu'elle et sa haine, un bloc de hain
a dans son esprit, son cerveau se remit à fonctionner comme d
lui avait parlé de Delphine et Marinette et elle avait souri, pensant immédiatement aux contes du Chat p
c la complicité de celle-ci. Marinette avait expliqué à son amoureux comment rentrer
sa rue. Il avait vu Marinette grandir et il l'admirait de
t personnellement car il avait inventé et installé le mécanisme d'ouverture qui permettait aux seules personnes autorisées de rentrer chez
s avait senti que son ami n'allait pas bien et après qu'Alain lui eut expliqué ce qui le minait, i
pendant qu'elle montait le bloquer,