L' amour après l'orage
'arbres. Mais il y avait eu quelque chose de marquant dans leur échange, quelque chose de plus profond qu'un simple croisement de chemins. Elle ne pou
, un bref interlude dans sa vie calme et solitaire. Pourtant, à chaque fois qu'elle se rendait au parc, une petite voix intérieure lui souff
artement pour se rendre à un rendez-vous professionnel, un
aujourd'hui. Rien de grandiose, juste quelques pièc
u parc, et l'idée d'aller voir ses œuvres l'intriguait. Quelque chose en elle, peut-êt
ndrai.
trop réfléchir, se rendit à la galerie d'art. C'était un endroit modeste, mais l'atmosphère semblait chaleureuse e
un simple pull gris et un jean, mais l'éclat de ses yeux et la manière dont il se tenait – à la fois calme et confian
ntent que tu
eu intimidée mais aussi curi
ttendre, lui répondit-elle. M
pièce semblait capturer un fragment de l'âme humaine : des formes tordues, brisées, mais pourtant pleines de vie. Certaines sculptures é
magnifiques, murmura Élisa en
avec une lueur de f
uleur, l'incertitude, la beauté dans la décomposition. Je
que fissure racontait une histoire. Nathaniel était là, dans chaque creux, chaque déformation. Il
ilhouette qui semblait suspendue entre la vie et la mort, un silence s'install
ua-t-il. Mais pour moi, c'est tout ce que
rendre ce qu'il voulait dire. Mais avant qu'elle
e femme d'une trentaine d'années, s'approchant avec u
t sûre d'elle, tendi
, une amie de Nathaniel.
tée. Elle n'était pas habituée à ces
c'est b
urire curieux avant de s
rande galerie. Ce genre de travail ne devrait pas
nsparaissait sur son visage. Il n'était pas à l'aise avec les complime
nce, répondit-il simplement. Pour moi, l'art, c'est av
aque minute. Ce n'était pas une amitié comme les autres, c'était plus complexe, plus fragile. Ils se comprenaien
plupart des visiteurs étaient partis, N
cérité. Ça me fait du bien d'avoir qu
femme qui commençait à trouver, dans cett
fait découvrir ton monde. C
e tamisée du soir, deux âmes solitaires qui, sans le savo