La Princesse de l'Alpha
ipse, et je frissonne légèrement. Beck ne perd pas de temps et retire son t-shirt. Mes yeux
arde avec méfiance, mais finis par hocher lentement la tête, incertaine. Il sourit doucement et m'aide à enfiler le t-shirt par-dessus
et tente de la vider d'
dit-il calmement. Je ralentis considérablement, et il
e et reste assise à
eck
ement ravi que je
... ta compagne ? C'est vr
ia, tu es m
demande nerveusement. Ses yeux s'écarquille
'est une compagne ? » m
is secoue la tête. Ses yeux s'agrandi
jamais dit ce qu'e
mentionnant, « il m'a dit qu'un jour, je trouverais quelqu'un qu'on appelle ma compa
l'instant, je veux te sortir d'ici et te nettoyer. D'accord ? Ça te va ? » me demande-t-il ave
mmence à vaciller. J'ai été confinée dans une petite cellule de 1,5 mètre sur 2 mètres, je ne marchais presque jamais, et encore moins sur de lon
les deux derniers mois et demi de ma vie, je me sens soudain très anxieuse et nauséeuse. Bec
ns les yeux. « Alexia, ma belle,
que nous montons les escaliers menant à la partie principale de la maison de la meute, je commence à entendre davantage de bruits. Je me
en, ne t'inquiète pa
! Je... je ne pense pas... je ne peux pas... je... » Je m'
'excuser, puis s'arrête brusquement, comme s'il réfléchissait ou était dans la lune. J'ai déjà vu mon
plus aucun bruit ne provient de la maison de la meute. Je relâche un souf
panneaux de bois sombre qui semblent couvrir tout le rez-de-chaussée. À gauche se trouve un immense salon, et à droite, un long couloir. Beck se retourne, et je vois que la porte par laque
dis qu'il marche, je continue à observer la maison - ou plutôt le manoir, devrais-je dire. Il semble combiner un style victorien avec des touches modernes. Cela po