Fiancée au PDG Billionnaire par Chantage
ions montées à la hâte, tout devait être parfait, ou du moins sembler l'être. La famille d'Olivia avait été reléguée au second plan, comme pour éviter toute suspicion sur les motivat
que l'on aurait dit taillée spécialement pour elle, mais qui, en réalité, la rendait plus étrangère à cette journée que jamais. Chaque couturier avait été informé de sa silhouette, de son p
lis, poignées de mains calculées. Rien qui ne ressemble à ce qu'un couple devrait partager avant de s'engager pour la v
sensation d'irréalité s'empara d'Olivia. Elle regarda la foule, les visages souriants et respectueux, m
acte. Alexander se tenait devant elle, aussi impassible que l'on pouvait l'être. Ils se tenaient côte à côte, mais à des millions de kilomètres de distance. L'
en connaissance de cause, dans la stricte observance de nos devoirs respectifs. » Les mots étaient énoncés avec une rigueur militaire, comme s
nder, en sachant bien que cette union est avant tout un devoir, un engagement envers nos familles et nos affaires. » L'instant se
eulement une formalité à accomplir. Le baiser, rapide et sans chaleur, scella le tout, comme une dernière formalité avant de quitter la scène. Les invités applaudissaient, mais dans le fond, personne ne se sentait véri
us forte que jamais. Elle avait toujours su que ce mariage ne serait pas une histoire d'amour, mais elle n'avait pas imaginé à quel point cette froideur entre eux serait d
its tendus. Il referma la porte derrière lui d'un geste brusque,
jouée de moi, Olivia. Vous pensiez pouvoir manipuler la situation, faire cro
e ? » répondit-elle, son ton feignant l'ignorance, mais un frisson parcourant sa nuque. L
'a pas informé des machinations qui se cachent derrière cette union ? » Ses mots étaient comme des éclats de verre, tranchants et fro
quoi vous parlez, Alexander. Vous vous trompez sur tout. » Elle sentit la colère monter en elle, mais elle savait que cette conf
ez jamais été là pour nous, pour cette union. C'était une simple affaire. » Il s'approcha d'un pas, réduisant l'espace entre eux. « Vous pe
yez que je voulais cela ? Vous croyez que j'avais le choix ? Je suis coincée dans ce piège tout autant que
s l'admettez ? Vous êtes partie prenante de ce co
à la rage, elle se contenta de répondre d'une voix ferme, mais basse. « Non. Je ne suis pas coupable. Mais je ne suis
elle, comme s'il cherchait quelque chose qu'il ne pouvait pas sai
s aucune véritable relation. » Sa voix se fit glaciale, presque menaçante. « Vous ave
aissait entrevoir la dureté à venir. Il ne lui restait plus qu'à accepter son sort, à accepter que, dans cette union, il n'y aurait ni te