Fiancée au PDG Billionnaire par Chantage
ne question de statut ou de pouvoir. C'était un tout autre monde qui s'offrait à elle, un univers où l'argent, les apparences et les règles sociales gouvernai
haque décision, chaque aspect de la cérémonie était scruté, analysé. Les couturiers, les organisateurs d'événements, les conseillers en image étaient là pour veil
cela semblait trop... irréel. On lui demanda de choisir des accessoires, des bijoux, des chaussures. Elle avait du mal à se projeter dans ce rôle de future épouse d'un homme qu'elle c
ression. Tout cela n'était pas elle. Ce mariage n'était pas sa vie. Mais elle n'avait pas d'autre choix que de continuer à avancer dans cette direction. C'était ce qu'Alexander voulait. Et, d'une certaine maniè
t où Olivia arriva, elle sentit le poids du regard des invités. Chaque mouvement, chaque sourire, chaque mot étaient observés avec une attention particulière. Elle était là en tant qu
e d'un couple uni, solide. Mais elle ne pouvait s'empêcher de se sentir comme une marionnette, manipulée à chaque instant. Elle n'avait jamais aimé ce genre d'é
, elle sentit une main se poser sur son épaule. Un homme grand, élégant, au r
nt. Et vous, Olivia, vous êtes enc
lite qui observait, scrutait, analysait chaque geste, chaque relation. Les invités semblaient plus intéressés par la fausse réalité de leur union
a suivit, sans un mot, comme si leur interaction avec le monde extérieur n'était qu'un jeu qu'ils devaient tous deux jouer. Elle le senta
ébrale. Un homme se tenait à l'ombre, une enveloppe à la main. Elle ne savait pas pourquoi, mais une sensation d'alarme s'empara d'elle. Alexander, comme si rien n'avait eu
Elle n'avait pas encore osé l'ouvrir, mais l'odeur du papier lui donnait une idée de la nature du message. El
ira l'enveloppe et en sortit le message. Les mots
is la vérité. Vous jouez avec votre vie et celle de
ait pu envoyer une telle menace ? Et pourquoi ? Cette personne savait-elle quelque chose que ni elle ni Al
n bureau, il était déjà occupé. Il paraissait comme toujours implacable,
manda-t-il en voyant la lett
révéler ce qu'elle venait de découvrir. « Une lett
ontra aucun signe d'inquiétude. « Vous p
de savoir, mais... pourquoi quelqu'un fe
, puis la reposa sur le bureau. « C'est peut-être juste une tentative de nous effrayer. Ne
uelque chose de plus grand, de plus mena
cette relation imposée, semblait ouvrir de nouvelles portes. Des portes qu'elle n'était pas prête à franchir. Des mys