La Vierge coquine et le milliardaire
ous son masque d'assurance, une tension sourde l'habitait. Les préparatifs, bien qu'intenses, é
yse avait envahi l'espace avec des sacs débordants de robes, de chaussures et d'ac
aire ? demanda Marisa, hésitante, e
à lèvres devant le miroir de l'entrée. Nathaniel n
ir et regarda sa sœur
mportant pour toi ? Tu
ace, son sourire p
ent d'avoir tout. Et moi, je suis l'une d'elle
centriques de sa sœur pour s'en formaliser. Pourtant, que
Je ne suis pas exactement... faite pour ces
pas, posant les mains sur ses ép
ue j'ai besoin de toi. Ta simplicité, ta grâce natu
ougissant légèrement sous
romets-moi qu'on ne
ntit Maryse
-
mière dorée, tandis qu'un ballet de silhouettes élégantes s'agitait à l'intérieur. Maryse, vêtue d'une robe noire au dos plongeant, avanç
rant, reste naturelle. Tu n'as pas be
erveux, se demandant pourquo
mmes habillées comme des stars de cinéma échangeant des rires cristallins. Maryse balaya la pièce du reg
a-t-elle à Marisa.
ils. Nathaniel avait une allure élégante et un sourire discret, mais il
le, plaisanta-t-elle, essaya
aryse, agacée. Reste près d
-
main. Elle s'interposa subtilement dans la conversation que Nathaniel
Blackwell, dit-elle
un sourcil. Il semblait mesurer
rois ne pas vou
, répondit-elle en ten
ement, son expression re
nch
r sur Nathaniel comme de l'eau sur du verre. Il répondait avec courtoisie, mais
ait, fut malgré elle entraînée dans la scène. Nathaniel, en voy
demanda-t-il avec une sincé
ondit-elle, légèrement rougissa
urire. Fascinant. Alors, dites-moi,
nts, essayant de ca
l à l'aise
é. Je n'ai pas vraiment l'hab
rfaitement à l'aise, dit Natha
tion sur elle, Nathaniel semblait fasciné par l'esprit vif et les réponses authentiques de Marisa. Ils parlèrent d'
ant sur les choses, Marisa, di
és, bouillonnait intérieurement. Elle était là pour séd
-
our s'éloigner avec Marisa. Dans un coin isolé du jardin, à l'abri des regards
u fais ? murmura-
rles ? répondit
censé s'intéresser
ua la tête,
ait ! Il m'a posé des
ses ongles s'enfonçant lé
oi qu'il doit remarquer. C'est moi. Alors
r le ton de sa sœu
gêner, Maryse. Je pen
rofondément, ten
vraiment m'aider, alor
op naïve pour percevoir la véritab
-
llition intérieure. Chaque sourire qu'elle adressait à un invité, chaque éc
e, elle remarqua qu'il tenait un livre dans ses mains, un
ésie ? demanda-t-e
da, son expression
effet. V
fraction de second
C'est une.
mais avant qu'elle ne pui
poète que je ne connaissais
cé parcourir sa colonne vert
isa est...
tait attiré par l'intelligence et la subtilité, alors elle pourrait utiliser Marisa co
n train de discuter avec un serveur, un sour
preint d'une do
viens. J'a
e cachait un plan déjà en marche. Un plan qui tra