La Vierge coquine et le milliardaire
ue table et les notes de piano jouées en arrière-plan créaient une atmosphère presque magique. Marisa se tenait à l'entrée, son cœur battant à tout
la baie vitrée. Lorsqu'il la vit, il se leva immédi
Vous êtes
rer. Elle hocha la tête avec un so
Me
hoisi pour son ambiance... apaisante, expliqua N
utour d'elle, ch
t... vraime
hange de regards avec Nathaniel, Marisa opta pour le plat qu'il avait r
passions, ses lectures, ses opinions sur divers sujets. Marisa, bien qu'i
remarqua Nathaniel après qu'elle ait partagé son po
x, se sentant à la fo
e juste de reste
ment, comme s'il essayait de
us, Maryse. Vous avez une profond
t d'elle, ou plutôt, de l'image qu'elle projetait sous la pression de
-
s blagues, à répondre avec enthousiasme à ses questions. Mais à chaque moment où elle se laissait aller à
aniel insista pour la raccompagner jusqu
rée, dit-il, son regar
fle se couper sous l'i
un bon moment, murmura-t
action de seconde avant de pose
s beaucoup
on qu'elle ressentait. Elle entra dans le taxi, et tandis que le véhicule s'éloignait,
-
impatiente. Elle l'accueillit avec un sourire éclata
omment ça s
sur le canapé avant
, je s
onça les
le un peu ! Qu'es
ait me revoir, répond
ta de rire,
ut te revoir ! C'ét
thousiasme de sa sœur. Elle se sentait coupable, tra
-
, accompagné d'un mot manuscrit. Maryse fut la première à le voir, et lor
onça-t-elle en tendan
un ouvrage rare, une édition limitée d'un roman qu'ils avaient évoq
a éclairé ma soirée. J'ai hât
n sourcil, visi
e perd pas de t
r se répandant dans sa poitrine, mêlée à une culpabilité écrasante.
a sœur, son esprit déjà occupé à
voyé par Nathaniel trônait comme un trophée empoisonné. Depuis son arrivée ce matin-là, elle n'avait cessé de fixer l'objet, une colère
-t-elle d'une voix tranchante, levant le
par le sommeil, plissa le
tu parle
ivre sur le canapé. Nathaniel. Le cadea
t, déconcertée par cett
emandé qu'il m'envoie quoi que ce
uement, réduisant la
'il voit, tu te rappelles ? C'est *moi*. Chaque
yeux, serrant les
se ? Et si je n'ai pas envie
e, abasourdie, recula d'un pas, mais son expression
plaisantes, j'espère. Tout ce que je te demande, c'e
e transformer en toi pour séduire un homme
ts, ses poings tremb
ne comprends pas. Il est ma clé pour sortir de cette vi
égèrement, sa voix m
à penser à *moi* ? À
tic-tac distant de l'horloge du salon. Maryse, réalisant qu'ell
x pas le faire pour moi, fais-le pour toi-même. Tu as vu comment il te regarde. Tu te sens sp
en sortit. Les paroles de Maryse l'avaient frappée là où
-
. Marisa évitait les confrontations, tandis que Maryse se montrait d'une froi
aniel arriva sur le téléphone de Marisa. Lorsqu'elle lut
passer un week-end ensemble. Un endroit tran
it-elle faire ? Dire oui et continuer cette mascarade ? D
é et s'en empara avant que Marisa ne puisse réagir. Elle lut le m
comme si elle goûtait ces mots
son téléphone, mais Maryse
, rends-
i répondre, dit-elle, un écl
sa, exaspérée. Il m'a
le téléphone sur la ta
est-ce que *tu* co
rd fixé sur le sol. Elle n'avait p
ton. Si tu refuses, il va se poser des questions. Et
va les yeux
e lui dis
de rire, un
autrement que comme une menteuse ? Non, Marisa. S
thaniel, acceptant l'invitation. Mais une fois le message envoyé, une étrange sensation
côté, semblai
Il suffit que tu continues comme
elle avançait dans ce rôle, plus elle avait l'impr
-
yse, bien qu'elle feigne un soutien désintéressé, ne pouvait cacher son impatience. El
a lui soufflait que ce n'était pas la vie de Maryse