Captive du Milliardaire Impitoyable
pit
i était trop. Trop riche, trop froid, trop grand. La maison n'était pas qu'un lieu ; c'était un piège déguisé en refuge. Elise avait commencé à s'y faire, du moins en apparence. Le silence des couloirs, l'écho de
mme une menace constante. Le premier, Markus, avait une voix douce, traînante, et des yeux qui semblaient capables de voir à travers les gens. Il souriait trop, mais ce sourire-là ne contenait rien de bon. Le deuxième, Vincent, parlait peu mais observait tou
ient presque rien dit, mais elle avait senti leur jugement dans chaque regard. Une étrangère dans leur monde. Une intrusion. Personne ne l'a
re, l'impression qu'il allait se passer quelque chose, qu'une bombe invisible allait exploser.
lusion de contrôle. Elle en avait pris un au hasard, essayant de s'évader dans les mots, mais l'histoire n'avait aucun sens. Impossible de se concentrer. Elle refer
de près de la cheminée, la lumière tamisée. Elle fit quelques pas, tendit l'oreille. Rien. Mais elle sa
impassible, comme toujours. Markus parlait doucement avec Elias, mais leurs mots semblaient codés
mme une lame. Elise leva les yeux, surprise. Il ne lui a
s le choix. Lui dire qu'elle avait entendu une voix ?
nger, comme si l'interrupt
sortit de la chambre, pieds nus sur le parquet froid. La maison était un labyrinthe. Mais elle commençait à en conna
entrouverte, laissant passer une faible lumière. Elle savait q
n document qu'il referma aussitôt en la voyant. Pas de colère dans son
ais-tu
-elle dire ? Elle n'avait pas d'ex
eau serait l'endroit idéal
Elle baissa les yeux, honteuse, m
tout à l'heure. Dans la
ne once de réaction. Comme si
t personne »,
ce que j'a
u ne sai
cher d'elle. Trop près. Elle recula instinct
prends pas les règles. Et si tu continues à chercher des répo
i », murmura-t-elle
s ton rôle de
retint. Pas question de pleurer devant lui. P
, elle n'était pas seule. Elle le savait. Les ombres dansaient dans les
l'aile est de la maison. Un cri, étouffé, mais terrifiant. Elle sursauta, lâchant la tasse qu'elle tenait. Les éclats de porcelain
le cœur battant. Que v
bouge
e. Il était là, à l'entrée de la cuis
sse ? » demanda-t-ell
ui te co
elle voyait bien que quelque chose n'allait pas. Elle pouvait presque sentir la
s dans sa chambre, mais dans la bib
r ce qui se cac
tête, incapa
s prête à t
gravés dans son esprit comme une menace. Elle ne savait pas ce qu