Captive du Milliardaire Impitoyable
pit
Un verre de vin à la main, elle observait les gens qui parlaient avec une aisance qu'elle n'avait jamais maîtrisée. Elle n'était ni riche, Ni influente, mais elle avait ce petit quelque chose qui lui permettait
ir, une légende urbaine que ses ennemis chuchotaient avec dédain et que ses partisans louaient presque religieusement. Les yeux froids, les traits marqués par une
gard la placerait dans une position qu'elle n
presque glacial, d'un milliardaire qui vous tend la main sans doute plus pour contrôler la situation que pour une réelle interaction
ilier. Elise Morg
elle était entrée dans un monde qui n'était pas le sien. Un sourire, une poignée de main, un simple
ation banale. Non. Lui, il s'intéressait à elle. Ce n'était pas une question de charme, ni même de tentative d'attirer son attention
en vérité, trop absorbée par les paroles insistantes de l'associé de Lucian. Des mots, des phrases qui se mélangent dans sa tête comme un brui
es. « Rien de plus que ce que vous pourriez imaginer, Elise. » Et sans réfléchir davantage, elle avait posé sa signature
e de toute émotion, presque froide, qui lui annonçait qu'elle devait se rendre immédiatement à un autre endroit. Et là
ez plus revenir en arrière », lui avait-il
que peut-être elle pouvait encore se dégager d
convenance. « C'est la seule solution pour régler ce... malentendu », lui avait-on expliqué. Un malentendu. Un de ces termes qu'on utilise pour
mme puissant. Mais chaque regard de Lucian la faisait se sentir de plus en plus étrangère à son propre corps. Il y avait un contrôle dans la façon dont il s'était
dont les murs se resserraient chaque jour un peu plus. Ce n'était pas un
vraiment, mais elle savait qu'il ne lui laissait aucune échappatoire. De toute façon, sa vie n'était
ressentait le poids de la situation se faire plus lourd. Elle se sentait observée, jugée, un
ulateur, comme si chaque mouvement de sa part était pesé, évalué. Elise sentait qu'il l'avait choisie pour une raison qu'elle ne comprenait pas encore
leur rencontre, il lui avait répondu, nonchalant : « Vous êtes ici parce que vous avez ce
contrôle d'un homme comme lui, sans que cela la détruise petit à petit ? Chaque jour qui passait était une torture silen
: il ne la repoussait jamais complètement. Au contraire, il semblait toujours là, ju
aque question qu'elle osait poser, chaque doute qu'elle exprimait, était immédiatement contourné par Lucian avec une habileté g
le savait que ce n'était rien de plus qu'un piège. Un piège où elle se d