Titre : L'Alpha du Sang et des Ombres
territoire. Les batailles passées, le combat contre les Chasseurs et les cicatrices visibles sur les membres de la meute laissaient une empreinte. Chaque bruit, chaque geste s
de l'acier, trahissait toutefois une inquiétude qu'il refusait d'admettre. Une inquiétude qu'il n'avait jamais connue auparavant. Depuis l'apparition des Chas
e sans bruit, comme toujours, fidèle à sa nature. Elle n'était pas du genre à faire une entr
légèrement contrariée. Il savait pourquoi elle était là. Il savait ce
approche, n'est-ce pas ? » répondit-il, sa voix m
hoix, Kaden. Nous avons vu ce dont les Chasseurs sont capables. Leur stratégie est bien plus précise et efficace que ce que
le, était sur le fil du rasoir. Pourtant, il n'était toujours pas prêt à accepter l'idée qu'ils ne pouvaient pas faire face seuls. « Nous avons survécu tout ce temps sans ces alliances dont tu parles, Elira. Et je
r Kaden sur-le-champ. Mais la situation ne pouvait pas attendre indéfiniment. La guerre qui s'annonçait n'était pas ce
u continues à insister sur cette voie, nous risquons de perdre plus
s autres meutes, ces étrangers qui nous ont ignorés pendant des années ? Que je leur deman
rconstances l'imposaient. Mais elle n'allait pas le laisser se laisser engloutir par cette arrogance. « Je ne parle pas de
attention. Darian s'approcha d'eux, les yeux sombres mais clairs. Il avait écout
emps avec des arguments inutiles. « Nous avons perdu trop de loups lors de la dernière attaque. Ils sont plus organi
aussi décidé de me trahir, Darian ? »
e de conscience. » Il s'avança d'un pas, maintenant plus près de Kaden. « Nous avons tous vu ce
t à masquer. Il détestait l'idée de se montrer vulnérable, de reconnaître qu'il avait besoin de l'aide de quelqu'un.
our nous, sans arrière-pensée ? » demanda-t-il, son ton moins acerbe, mais toujours empli de sceptic
ront tout intérêt à nous soutenir. » Il laissa ces mots flotter dans l'air, puis ajouta : « Et si nous faisons ça, s
e, continuer à mener sa guerre à sa façon, mais un autre, plus rationnel, savait qu'il n'y avait pas d'autre choix. Si la meute devait surv
é qu'il ne pouvait s'empêcher de projeter. « Mais sachez une chose : je ne ferai p
chi. Ils savaient qu'il restait encore beaucoup à faire, que le chemin serait semé d'embûches et de doutes. Mais pour la