Titre : L'Alpha du Sang et des Ombres
ombre, ses sens en alerte. Chaque bruissement d'arbre, chaque craquement de branche contenait une menace. Ses yeux
r, juste assez pour constituer une escouade capable de se défendre. Une douzaine, pas plus. Certains étaient des
ra Kaden, la voix grave, plus proc
our vulnérable, mais ses yeux racontaient une autre histoire. Cette louve
rnellement, Kaden. La situation exig
ira, » répondit-i
entêtement les menait droit au désastre. Kaden dirigeait la meute d'une main ferme, mais la for
ne éternité. Le murmure des bois s'était arrêté. Kaden tourna la
rdonna-t-il d'un
, les plus forts à l'extérieur, prêts à encaisser le premier choc. Kaden prit place à l'avant, s
étaient vifs, presque nerveux. L'impatience émanait de l
? » souffla-t-il, incapab
ur. « La première erreur v
e flèche se planta dans un arb
lames d'argent et de fusils spécialisés, ces humains avaient appris à ne plus craindre les créatur
le. Des corps se tordirent, des os craquèrent, des membres s'allongèrent, et bientôt, de
ineux trahissaient une intelligence froide et implacable. Son premier adversaire n'eut pas le temps de réa
ui le distinguait du reste. Ses crocs claquaient, ses griffes
! » gronda Kaden, un ordre mê
affrontement principal. Ce moment de désobéissance faillit lui être fatal. Un coup
dit sur le Chasseur, le projetant violemment contre un arbr
mourir ? »
dit d'un ton défiant. « Je fais ce q
t qu'il ne puisse répliquer, un cr
ançaient vers lui, des armes levées. Elira, dans un geste désespéré, s'interposa. Elle
une attaque contre la meute, mais un affront personnel. Sans hési
#
mmencé. Le sol était jonché de corps, humains et lu
ne expression dure. Son corps était couvert de blessures, mais c'
ait à marcher. Ses yeux gris croisèrent ceux de Kaden,
e droit à notre pert
ux. Il n'avait pas be
'écart, son regard alterna
comme ça, » déclara-t-il,
ment vers lui, ses trai
meilleure id
a son regard dans celui de Kaden, déf
ut-ê
de tensions latentes. Elira, sentant
l'endroit, » dit-elle. « Nou
, mais il se détourna, me
eurs épaules. Mais au-delà des cadavres, au-delà du sang et des larmes, une véri
lairière, une pensée persist
pas contre les Chasseurs de la