Epouser le fils du milliardaire à tout prix
rement mais qu'elle comprenait instinctivement. Dans son univers de clichés, de contrastes et de jeux d'ombres, il y avait t
point ils semblaient accorder leurs pensées sur la photographie. « Ce n'est pas juste l'image qu
e, baissant les yeux sur sa tasse de
ste quelque chose de très personnel. Je n'ai jamais exposé, je ne che
paraissait si mystérieux et réservé, se montrait d'une sincérité désarmante face à elle. Elle perçut cette fragilité comme un miroir, un reflet d'elle-m
'est un peu pareil. Je préfère les ruelles silencieuses aux foules des expos
imité qui s'installait entre eux. Le café se vida peu à peu autour d'eux,
otographie, Julie ? » demanda Leo d'u
i posait rarement, et elle-même n'avait jamais vraimen
me touchent sans que j'aie besoin de les dire. J'ai toujours été fascinée par les émotions que les gens cachent, celles qu'on n
e, son regard plo
t... admirable. Et te
s heures, semblait la comprendre d'une manière que peu de gens avaient réussi à saisir. Elle se rendit compte qu'elle avait baissé le
e fermant soudainement. Julie fronça les sourcils, surprise par ce changement brutal d'attitude. Il
oser la question qui l
oi. Est-ce que... est-ce que tu
de la pièce. Puis, il se redressa légèrement, comme pour repr
préfère ne pas trop parler de
sujet sensible, et la tension qui s'installait entre eux la
voulais pas être indiscrète,
, lui adressant un
'est juste que... disons que certaines cho
quitté cette table, emporté par des souvenirs qu'il n'avait pas envie de partager. Elle se demand
conversation reprit sur un ton plus léger, mais la complicité qu'ils avaient ressentie s'éta
nfuse. Elle savait qu'il y avait quelque chose chez cet homme qui la fascinait, une profondeur qu'elle désirait explor
aucune clé pour accéder à ses véritables pensées. Leo n'était pas simplement un inconnu rencontré par hasard ; il semblait
planait au-dessus de leurs têtes. À un moment, Julie sentit le besoin de poser une dernière quest
n... est-ce qu'
eux, comme une hésitation, une lutte intérieure. Finalement, i
i, » murmura-t-il, comme si la
ion profonde lui disait que cet homme cachait bien plus qu'il ne montrait. Peut-être aurait-elle dû écouter cette voix intérieure qui la poussa
l'image de Leo de son esprit. Mais malgré elle, son regard intense et son sourire mysté
ieux s'infiltrait dans son esprit comme une obsession furtive, s'accrochant aux recoins de ses pensées comme un refrain lancinant. Elle se repassa la scène du café, revivant leurs échan
uvrant une invitation pour une soirée dans la galerie de Clara. La carte était imprimée avec un raffinement simple, une touche dorée ornant le nom de l'événement : **« Perspectives éclatées »**. Un sourire se dessina sur
nnaisseurs souvent prétentieux. Mais cette fois-ci, une idée lui traversa l'esprit : et si Leo y était présent ? Il appartenait manifest
-
gageait. Les murs étaient tapissés d'œuvres d'art contemporaines aux couleurs éclatantes, contrastant avec la lumière tamisée qui baignait la pièce. L
r Clara qui se fraya un chemin jusqu'à elle, un sourire éclatant aux lèvres. Vêtue d'une robe fl
avant de l'étreindre chaleureusement. « Je savai
par l'enthousiasme
oi. Mais je dois avouer que cette ambiance... ça
istallin qui attira quelques re
. Et qui sait, peut-être qu'une be