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La Détresse D'un Milliardaire Brisé

Chapitre 2 Chapitre 2

Nombre de mots : 1127    |    Mis à jour : 16/11/2024

après leur étrange rencontre, elle avait trouvé une enveloppe glissée sous sa porte. Une invitation, élégante et formelle, écrite avec une

clairement issu d'un monde auquel elle n'appartenait pas, et l'idée de partager un repas avec lui lui semblait absurde. Mais au

peinait à joindre les deux bouts. Nathan Blackwell était peut-être arrogant, mais il avait le pouvoir et

richesse et le raffinement, et Clara se sentit immédiatement hors de sa zone de confort. Le maître d'hôtel, un homme à l'allure impeccable, l'accueillit

taillé. Lorsqu'il la vit arriver, il se leva, affichant ce

lui tirant sa chaise. « Je su

epter, » répondit-elle honnêtement

ire. « Honnêteté br

ent même pas affichés. Clara se sentit immédiatement mal à l'aise. Elle n'avait

s deux ? » proposa Nathan,

tête, soulagée

a son attention sur elle. Il semblait l'ét

. pourquoi étiez-vous à cet

répondit-elle sans détour. « Ce n'e

vec une lueur amusée dans les y

-t-elle, croisant les bras. « Mais

ue je rencontre sont intéressés par ce que je peux leur offrir. Vous, en

les. « Je n'ai pas gr

nfortable. Nathan semblait réfléchir, comme s'i

n'est-ce pas ? » dem

Comment... comment

-il, sans paraître gêné. « Je voulais comp

t de faire ça, » s'indigna

portez un poids énorme sur vos épaules. Vous travaillez dur, vous vous sacrifiez pour votre f

ans sa gorge. Elle ne s'attendait pas à une telle franchise, ni

rmura-t-elle finalement, baissant les ye

a doucement sa main sur la table, près de la s

grave. « Moi aussi, j'ai quelqu'un

s yeux, surpris

illait un souvenir douloureux. « Ma sœur cadette. Elle... elle n'

homme. Il n'était pas seulement puissant et arrogant. Il portait

s de votre mieux, » dit-elle doucement, ét

ournant le regard. « Mais parfoi

lara était reconnaissante pour la distraction. Elle avait l'

ces réfléchis. Nathan lui posa des questions sur son travail, sur ses passi

ux à mon sujet ? » finit-elle pa

e, croisant les bras. « Parce q

Je ne suis pas fascinante, Nathan. Je suis juste

ui vous rend fascinante, »

Elle voulait protester, lui dire qu'il avait tort, m

, Nathan insista pour qu'elle accep

r, » dit-elle en mon

egard encore fixé sur elle, comme s'il vou

pager en elle. Cet homme, si énigmatique, venait d'ouvrir une porte qu'elle n'était pas sûr

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