Prisonnières de L'Alpha
es tentatives, une barrière glacée se dressant chaque fois qu'il s'approchait. Mais dans le fond, quelque chose en lui refusait de croire qu'elle était perdue à tout jamais. Chaque i
le menace venait de
nge, presque insidieuse. Cet homme, Aldric, avait toujours été un concurrent du jeune Alpha, un loup rusé, calculateur, qui savait manipuler les situations à son avantage. Kaelan savait
ipulation. La scène se déroula une nuit, après un conseil de meute où Kaelan avait fait face à plusieurs affaires de leadership et de tensions internes. Lorsqu'il rentra ch
estion, elle prit la parole, ses yeux
e, simplement un constat. « Tu ne vois pas ce qu'il manigance, mais il e
ère fois qu'elle abordait ce sujet. Ce nom,
ong de son échine. Elle le regarda, puis baissa brièvement les yeux. Il y avait quelq
répondre. « Il sait que tu as une faiblesse pour moi. Il sai
tense, plus calculateur. « Pourquoi me le dis-tu mai
ration traversant ses traits. « Parce que je ne vo
u crois que je ne t'ai pas vu ? Tu crois que je ne sais pas que tu me f
manipulation. Si quelqu'un joue avec les vies des autres, c'est lui. Aldric. Pas moi. » Il s'approcha d'elle
comprends pas, Kaelan. Tu ne vois pas ce qui est en train de se passer. Ce que j'ai vécu
chose dans ses yeux, dans la façon dont elle évitait son regard, lui disait que ses soupçons étaient fondés. Elle n'était pas juste une
nt de se tourner brusquement vers elle. « Reste ici, » ordonna-t-il d'un ton autoritaire. Mais elle ne l'écouta pas. Elle s'élança vers lui sans hésiter, ses yeux
it. Kaelan ordonna immédiatement à ses hommes de se retirer et d'établir un périmètre. Mais ce n'était pas l'incident qui l'inquiétait, c'était la façon dont Aldric semblait
ses yeux brûlants de détermination. « Aldric veut nous diviser, il veut nous affaiblir. Mais il n'obtiendra
ompréhension passant dans ses yeux. « Très bien, » répondit-elle finalement, d'un ton fr
récriminations laissées de côté, ils combattaient ensemble, et l'intensité de la bataille leur faisait sentir, de manière insoupçonnée, la force
rna vers elle. « Je n'ai pas fini avec toi. » Sa voix n'était plus
sque de froideur. « Peut-être que tu devrais, » répondit-el
la bataille elle-même. Mais il ne se détour