Prisonnières de L'Alpha
se souvenait de son sourire timide, de ses rires cristallins qui résonnaient dans ses rêves, le ramenant sans cesse à cette nuit où il avait cru qu'ils avaient part
fantôme insaisissable qu'il poursuivai
ure et irrésistible. Et pourtant, chaque jour qui passait, son souvenir s'éloignait un peu plus, comme du sable lui glissant entre les doigts. Comment pouvait-elle s'être évaporée si brutalement, sans
de soirées mondaines, mais son rang le contraignait à y assister. Il s'efforçait de maintenir une façade de calme, dissimulant son tourment sous une froideur calculée. Alors qu'il tr
rbes à la perfection, et sa chevelure encadrait son visage avec une élégance naturelle. Mais ce qui le frappa le plus, c'était l'expression de sérénité sur ses traits, comme si elle
omme si les années qu'il avait passées à la chercher n'avaient été qu'une illusion. Sans plus réfléchir, il s'approcha d'elle, attirant l'attention de quelques regards intrigués sur son passage. À son approche, elle releva la tête, et leurs r
ra-t-il, incapable de cacher l'é
c un sourire poli mais distant, comme s
ous vous trompiez de personne, Alpha, » r
nt pas ? Chaque fibre de son être criait à la trahison, à l'injustice. Il s'avança d'un pas, r
ficilement sa colère. « Je me souviens de chaque détail, chaque instant que no
froideur implacable. « Je ne sais pas de quoi vous parlez, » répondit-elle en détachant
mblait plus distante que jamais. Était-ce réellement possible qu'elle ait tout oublié ? Ou bien jouait-elle un rôle, pour de
ix brisée trahissant l'ampleur de sa souffran
t rapidement, détournant le regard avec une élégance calculée. « Je crois que la conversation s'arrête
flottant encore dans l'air comme un ultime affront. Incapable de se contenir plus
« J'ai besoin de savoir. De comprendre pourquoi tu es partie, pou
sant sur une carapace inébranlable. « Alpha, je ne vous dois rien, » répondit-elle avec un calme déconcertant, ses ye
avec une grâce froide, ses yeux ne montrant aucune trace de la tendresse qui avait autrefois illuminé leur regard. À cet instant, i
ire qu'elle était réellement devenue cette étrangère. Non, il le savait. Derrière ce masque glacé, la femme qu'il aimait encore existait toujours. Elle s'étai
terait, combien de fois elle prétendrait ne pas le connaître. Il ne renoncerait pas. Il percerait le mystère de sa fuite,
véler la vérité. Et, ce jour-là, il lui prouverait que leur histoire n'était pas terminée,