Il n'a fallu qu'un verre pourrait t'avoir
éjà à ses côtés, remplaçant Fernanda dans ses bras, dans son cœur. La réalité importait peu pour Maria : elle avait choisi de voir ce qu'elle voulait voir, de croire e
n l'intensité des sentiments qu'elle nourrissait pour lui. Chaque mot échangé, chaque sourire fugace étai
travail, les parcs où il courait parfois le matin. Elle s'arrangeait pour être là, « par hasard », s'assurant de toujours paraître élégante, bien apprêtée, prête à l'accueillir avec un sourire.
sait sans cesse. Maria, saisissant l'opportunité, laissa échapper un rire léger et se contenta de répondre que « le hasard avait parfois bien des secrets ». Elle pouvait voir la perplexité dans le reg
ils se trouvaient, cette aura mystérieuse qui l'entourait. Bien que Hans tentât de la rassurer, la jalousie s'insinuait doucement dans son esprit. Elle savait que Hans l'a
acle à l'amour qu'elle désirait ardemment. Elle pensait que si elle parvenait à fragiliser leur relation, elle pourrait se rapprocher davantage de Hans, se faire une pla
i-mot sur son intérêt pour lui, sur la façon dont elle appréciait sa compagnie. Elle le fit dans un ton léger, subtil, évitant de se montrer trop directe, mais laissan
cia pour sa sincérité, ajoutant qu'il était flatté de ses mots, mais précisant subtilement qu'il était pleinement engagé auprès de Fernanda. Maria ressentit un mélange d'amertume et de d
Hans, mais elle commença également à se montrer amicale avec ses amis, ses collègues, cherchant à infiltrer son cercle social pour devenir une figure fa
éfectible qui les liait, et cela l'agaçait profondément. Elle ne pouvait s'empêcher de ressentir de l'envie, une jalousie intense envers cette femme qui possédait le cœur de
de complicité qui la rendit presque folle de rage. Elle se sentit trahie, humiliée, comme si chaque geste tendre échangé entre eux ét
les. Elle se dit que pour atteindre son but, elle devait créer une situation qui forcerait Hans à se tourner vers elle, à voir en elle autre chose qu'une connaissance, une amie ou une adm
, une idée sombre et désespérée. Elle se persuada qu'elle ne pouvait plus attendre, que le moment était venu de passer à l'action, de s'emparer de so
e préparant pour ce qui serait, selon ell
er l'histoire tout en maintenant une tension narrati
hasardeuses » avec Hans, elle n'avait cessé de chercher »un moyen de briser l'armure qui le protégeait. Elle avait suivi chacun de ses mouvements, observé ses gestes avec une intensité