Playboy : L'art de la séduction
tomber un jour dans les bras de Jelena. Et puis Anissa, elle était gentille Anissa ! Elle baisait bien, Anissa ! Comment lui dire qu'il n'avait plus envie d'elle ? Et Maelis, ah Maelis, mais il l'
bonheur tout près, mais c'était de la tristesse qui mouillait ses y
aient l'herbe neuve des prairies des plateaux jurassiens. Mâle des champs et mâle des villes, Kyrell sillonnait les routes de campagne à moto, la sacoche commerciale
z la nounou et quelques petits extras chez son amie Orlena. Les week-ends, lorsque Fi
ine devant le pavillon se dessinait comme un point-virgule : le point, un bassin de jeux et de vagues, la virgule une pelouse pour les transats et le farniente. Entre terrasse et jardin s'étalait un parc planté d'acacias et de tilleuls. Toute cette richesse s'étalait là, sur le so
înements, en selle tous les dimanches ma
les montées à travers le vignoble du Lomont, je me
oseras cette semaine, tu n'as plus
épondait gaie
s, ils piquaient tous deux des sprints où Kévin f
babillaient, bien installés dans leurs fauteuils de bois verni. Larsen et Jules couraient autour de la ta
occupe,
ales là à deux pas de lui, il écoutait les plaintes de Jelena : « Quand est-ce que tu reviens, tu me manques tellement » ! Ils avaient tant fait l'amour durant ce joli mois de mai ! Et Anissa, qu'avait-il fait d'Anissa, pourquoi l'avoir si délaissée ? Elle était pourtant gentille, Anissa, elle baisai
a une main autour de sa taille, l'
ucoup trop grillée, vite, dépose tout sur un plat. Allez ! Viens, Finnia
s trop cuites, les merguez carrément brûlées. Revenu
nze jours cet été
vous m'emmener,
grisonnants, un visage sérieux qui souriait, le même charme. Un sourire peut-être un peu plus froid chez Finn
emaine en vacances, qu'est-ce que tu en penses ? dé
ette ! s'é
lait dans les
n partir
veux,
geste si gracieux puis se pencha ver
peut-être Madère.
e s'était à no
acances juste entre fille, intervint Orl
nt, laisse-moi profiter de Kyrell
dégusta le café. C'est tout Georges, pensait Maelis en regardant Finnian approcher la tasse
b ! Puis elle pouffa dan
la table, sur Kyrell, sur
s'exclama Kyrell da
comprenaient que l'ambiance était à la fête. Lon
un coin de friches pour vider sa vessie, un parterre de rosiers
sans lumière, Orlena prit la
. Viens m'aider à la pépinière, tu gagneras bien ta vie et surtout, tu seras a
s trop envie de mélanger travail et copinage. C'est comme ça que les amitiés se bri
au Scénic. Une fois Maelis bien installée sur le siège passager, Orlena se pencha vers son ami
s voulut faire l'amour, Kyrell aussi.