Playboy : L'art de la séduction
rire vint s'épanouir sur son visage marqué par la fatigue. Il gara son bolide noir brillant, sa fidèle Kawasaki, dans l'angle sombre du hangar et laissa ses doigts
pavé. Ses cheveux sombres en bataille et ses yeux verts, qui parfois prenaient des nuances bleutées, trahissaient ses pensées
feutrée en balançant sa veste de cuir sur
féminine, douce mais vibra
la fatigue se mêlait à la tension. Un sourire furtif se posa sur ses lè
murmura-t-elle, le regard s'attardant
nt sur le canapé immaculé, a
c'est le moment où je dois r
ais dit qu'il n'y a
. Maelis se retira, glissant dans un coin du sofa, s
jà couché, fit-
t L
hambre, toujours co
un baiser sur le front paisible de l'enfant. La porte suivante, celle de Lou, rest
t d'entrer, s
un repas silencieux, ponctué de regards volés et de pensées enfouies. Puis, la salle de bain les accueillit tous deux, la mousse caressante effleurant leurs
masquant une question plus sournoise. Une flamme naquit entre eux, mais elle s'éteignit lo
plus ? tenta Kyrel
-elle sans le
trop tendue prête à rompre. Les lèvres effleurèrent ses cheveux alors qu
va, la lueur d'une idée brûlante dans ses prunelles. Elle s'avança, ses gestes chargés d'intention. Un
onne déjà, murmura-t-elle,
oi parl
s très bien
descendant lentement, sa bouche déposant des baisers qui s'aventuraient jusqu'au bas de son torse. Chaque geste était maîtrisé, calculé, ses mains explorant tour à tour le corps de son mari, l'une gliss
es sillons brûlants. Les heures semblaient se suspendre dans cet instant où tout n'était que passion, le monde extérieur s'éclipsant. Le short finit par tomber s
'appartenait qu'à eux. Ses mouvements étaient tantôt lents, tantôt précipités, chaque geste soutenu par des gémissem
re tièdes, frôler le bas-ventre de Kyrell. La chaleur étouffante de l'instant se libéra dans un souffle dés
perdus dans la chevelure encore humide
rgique qui l'extirpa de ses rêves. **Il faudra que je mette une sonnerie plus douce**, se dit-elle en éteignant l'alarme. Les gestes du matin étaient mécaniques : douche rapide, un café à la hâte, et
aient interminables. Mais ce soir, c'était différent. Ce soir, elle avait un plan. Dès la fin de son service, elle courut ré
chercher ton p'tit bout ?
niversaire de mariage... enfin, j'e
a un sourc
n prévu pour
organisé. Et tu sais quoi, je pense
avala vite. La conversation prit un tour plus sérieux, leurs vo
proposa Maelis. Ça ferait diver
, puis finit
drai. Ça pourrait ê
cœur serré mais déterminé. **Ce s
averser la cour et de s'engouffrer à l'intérieur du café-restaurant. Il avait remarqué la Volvo rose de son copain et surtout l'image peinte habilement sur la carrosserie où un piano et une flûte s
Talon en voyant son grand c
t beau
i le beau gosse, regarde comme t'es foutu, grand, mince, superbes ye