Mariage arrangé : Sous l'emprise de la mafia
uide
bureau, les doigts crispés sur le rebord de bois massif, le regard teinté de whisky et de haine.
nt les poignets de ma veste, feignant une tra
ure entre mes dents
fronts qu'ils nous ont faits. La violence, il en fait une affaire personnelle, guidé par des instincts de vengeance aussi aveugles que désuets. Il ne supporte pa
millions chaque année pour nous, transformant des fonds sales en argent respectable. Si se
un regard froid. "Où
comme chassant une
pporte ici. Des gémissements étouffés résonnent derrière la porte de la chambre d'amis. Quand je l'ouvre, j'y tro
res, avec des règles claires. Je m'éclaircis la gorge, irrité. "M
r le pas dans le couloir. Rex bondit vers lui, mais je l'arrête net d'un "Ne le touche pas."
nerfs. Finalement, il me mène vers le sous-sol en
phobie chez nos "invités". Au centre de la pièce faiblement éclairée, un homme est attaché, la peur gravée dans
et crache du sang à
issant la pièce. Je m'assois face à lui et incline la têt
ueur de défi dans
mon regard sur lui. "Des rum
l'effraient; une araignée descend lenteme
tandis que je dégaine mon revolver. "Dis-moi,
de défi. Rex grogne derrière moi, en parfaite synchronie avec la tension qui grimpe. L'
chose, Lucky. Quelque
het, que je n'étais qu'un autre connard parmi les autres. Mais lui et moi, on est dans le même bateau, tous les deux rongés par cette même noirceur.
ester sur toi. Des petits secrets que la CIA garde bien pour elle, tu vois. Comme ce qu'ils appellent la nutrit
u prends un rat, tu le poses sur la poitrine de ta victime et tu le recouvres avec une marmite en métal, que tu chauffes do
t comprendre toute la portée de mes mots. Ce manq
es, vu que tu ne sembles pas savoir comment t'en servir correctement. » Je lance un coup d'œi
isme dans le regard. « Qu
ncieuse, sur ma paume, ses petites pattes griffant ma peau. Quand je reviens vers Lucky, le pauvre type blêmit encore plus. Je m'approche de lui,
même manière », je murmure. « Mais to
n'est pas la victime innocente qu'il essaie de jouer. Parce
des petites bêtes à huit pattes que de la douleur. Une découverte que j'ai b
cky. Dis-moi ce qu
isse toute seule. Mais finalement, après un moment, il murmure, pan
ire s'étirant lentement sur mon
albutie-t-il, la
nter droit sur sa tempe. Six ans de moins que moi. Elle est encore jeune
happé à l'araignée. « Alors, tu v
r », je dis d'une voix traînante,
p retentit, éclatant dans le sous-sol comme un tonnerre. Un éclat de san
s autour de lui. « Putain, t'étais
allumant avec un sourire
dans cette dernière ironie. L'araignée, elle, retourne paisiblement à sa toile, indifférente. Le calme retom