Ombre
à sortir de son lit, des frontières de son univers, de cette chambre
un jour de plus où il devra faire face à l'ind
urs aujourd'hui ? demanda s
Si
rné à l'école lui permettait d'oublier cet état de solitude dans lequel il se sentait constamment, puis il fit la rencontre d'Ibih. Elle n'avait rien d'exceptionnelle si ce n'est la tristesse que révélaient parfois ses yeux même lorsqu'elle semblait tout à
tee
me
cependant condamné par l'autre catégorie d'individus qui vit continuellement dans le passé : « à notre époque... ». Un lieu régit p
de l'école avant leur fermeture. Parvenant sans trop de difficultés dans sa classe, c'est un tollé qui l'accueillit, mais dans
ur des élèves à la carrure de ceux-ci ce, retard était synonyme de vacances malgré les examens de fin d'année. Combien de profs se plaignaient de l'attitude de ces élèves ? On ne comptait plus. Il n'y avait pas moins de trois clans remontés les uns contre les autres dans cette classe tra
trimbalait depuis quelques jours déjà dans son sac. Cepe
n'avait pas besoin de se retourner pour savoir
est juste qu'il en faisait un peu trop à ses yeux, ce dont elle avait absolument besoin c'était de s'amuser lui disait-elle souvent. « Alors bien dorm
mprunter la voiture
our
et je me disais que... on pourrait
e regagna sa place et pour toute réponse elle se contenta d'un signe d
du XXIesiècle, il prit la direction du CDI. Pourtant, il ne fut pas arrivé qu'il dû s'arrêter. Là, devant lui, dans un coin toute seule, recroquevillée et en larmes, il y avait une fille. Il la connaissait. «
aya de se reprendre, le regardant à la dérobée immobile à côté d'elle, sans que ni l'un ni l'
e, dit-e
outenir son regard alors la seconde d'après elle baissa la tête laissant ainsi ses cheveux,
eulement tu n'
est t'écouter,