Le Maître
oici emprisonné. Je termine mon maquillage et enfile mes lentilles de contact pour recouvrir mon visage d'un autre masque. Elle est encore inconsciente et solide
sser revenir sur terre et doucement paniquer. Sa respiration est saccadée et tout son corps tremble de terreur. Elle tire sur les liens, se débat, étouffe un
je descends mon arme duveteuse sur son décolleté. Sa peau frissonne et la mienne s'embrase d'excitation. Cette femme est d'une
seau, vous revenez
que... qui ê
jeu prendrait fin. Or,
ne veux pas jouer
es ma propriété à présent. Ne t'en fais
té de personne ! lance-
de velours d'un simple geste, dévoilant ainsi de somptueux sous-vêtements assortis. Avec une tenue pareille, elle tente de me co
. J'ignore combien de temps je te garderai,
ade qui enlève tou
e qu'aucune d'elles n'a porté plai
est ça la vérité. Mais je ne
uel spectacle ! Sa poitrine est parfaite et je ne manque pas de la caresser à pleines mains avant d'entamer un jeu plus sensuel avec ses tétons en
ut-être me supplieras-tu pour davantage de
de moi ! Tu ne sais ri
ntimité pour y introduire mes doigts sans la moindre invitation. Je n'ai pas choisi d'être un preux chevalier, mais ne regrette rien. J'aime la voir lutter contre ell
es sur la pointe durcie de ses seins. Celles qui envoient de petites décharges. Rien de douloureux, juste stimulant, comme le cliquet d'un briquet. Elle étouffe tant bien que mal un gémissement dans le fond
isse-toi sombrer et fais-toi plaisir.
ir ! Je ne suis
arer, tu te doutes bien qu'un mala
r puissant, c'est ça qui te plaît ? Je
heureux qui ne l'admettra jamais. Tant qu'il n'y a pas balle, il n'y a pas match. Je ne l'ai pas encore prise. Je regarde les heures défiler et les orgas
avec ton maître ? murmuré-je
r, siffle-t-elle en
oir soif ? J
vais me barrer d'ici et tu
umettre sans gagner sa confiance. Je caresse doucement sa joue avant d'aller la me
clair, un ch
as rapidement, n
aiment magnifique. Tu es ma
ée, espèce de cinglé, dit
a soumise, pas un
tant. Quelques prises de bec et quatre gifles dans ma joue droite plus tard, je finis par coller cette garce dans le lit et la menotter aux barreaux. Il y avait quoi dans le repas
rageux, cacher son iden
el artiste ne se c
, tu n'es pas un arti
juger un livre à sa cou
ever des femmes pour satisfa
ige jusqu'à ce que la jouissance lui fasse perdre le fil. Quant à moi, je dois m'y reprendre à plusieurs reprises pour venir. Je déteste les préservatifs, putain. Au final, je n'y ai pas vraiment pris de plaisir, c'est juste pour la forme. J'ai hâte qu'elle se don
première foi
ment désa
t la pire invention du siècle. Il piquait un peu.
réalité. Je suis allergique aux
sauf que là, ça m'excite et ne fait que rendre le jeu plus attrayant. Je caresse sa peau sucrée en la faisant trembler et la regarde jusqu'à ce que son regard croise le mien. Peut-être que je la ga
e se débat plus vraiment, elle est bien trop épuisée pour râler. Elle est posée sur les draps, fraîchement lavée et peine à se remettre de sa journée. Je crois que le petit oiseau va avoir du mal à tenir la longueur. Je la recouvre et