Les Éclats du Passé
ait espéré. Parce que juste après ces mots, il l'avait repoussée. Il avait re
s marcher. On ne peu
l, incompréhensible. Comment pouvait-il lui dire qu'il l'aimait, puis la rejeter
on. Elle était restée dans l'ignorance, avec ce sentiment d'abandon qui ava
uvenirs qu'elle avait enterrés depuis si longtemps refaisaient surface, e
ophie parler de banalités alors que son espr
oupant son amie en plein milieu d'une phrase
ta vers la porte, espérant rattraper Gabr
soir l'accueillit comme une bouffée d'oxygène. Elle re
tement de la salle communautaire. Sans réfléchir, elle se mit à cour
t-elle, sa voix tra
it en s'approchant, son cœur battant à tout rompre. Quand il s
éa ? » demanda-t-il, sa vo
it sa détermination vaciller, mais e
perçant, avant de hoc
bien. P
éa sut que rien ne serait
gité pour qu'elle puisse se détendre. Ses yeux scrutaient la pièce qu'elle connaissait si bien, et pourtant, tout lui semblait désormais ét
s yeux, cette barrière impénétrable qu'il avait érigée entre eux, la laissait confuse. Pourquoi avait-il choisi de lui fermer ainsi
pilés. C'était des affaires que sa mère avait soigneusement rangées pendant son absence. Des souvenirs de son adolesc
bjet ramenait avec lui un fragment de mémoire, une époque où tout semblait plus simple. Mais alors qu'elle fouillait, un vieux cahier jauni attira son
tait doux au toucher, usé par le temps. À mesure qu'e
her de le faire. Chaque jour sans toi est une torture. Je ne peux pas te
nature au bas de la lettre était claire : *Gabriel*. Ses mains tremblaient légèrement. Il y av
ayé de la contacter directement ? Elle tourna la tête vers la porte de sa chambre, son cœur battant de
salon, Hugo était assis sur le canapé, une bière à la main, le regard fixé sur le match de foot qui jouait à
st-ce qui s
our former une phrase cohérente. Ses mains tremblai
e que c'es
ait. Son visage pâlit légèrement. Il comprit immédiate
er, » commença-t-il, mais
ées, et tu as gardé ça secret ?! Tu les as cachées p
anapé, essayant d
cette époque, Gabriel n'était pas bien. Il n'était pas st
e remplissant de larmes de
as le droit de prendre cette décision à ma place. Tu ne m'as même
a situation. Il n'avait jamais voulu faire de mal à sa sœur, mais à ce
Il se battait contre ses propres démons. Si je te laissais entrer dans sa vie à ce
sé des années à me demander pourquoi il m'avait rejetée, à croire que c'était moi qui avais fait quelque chose de
s. Elle se sentait trahie, non seulement par Gabriel, mais aussi par
issant tomber lourd
dans un mauvais endroit, et je ne voulais pas que tu te retrouves à s
ui, ses larmes menaçant d
es réponses, Hugo. Tu m'as privée d
son frère, mais la trahison était trop forte. Comment pourrait-elle lui
sa sœur. Il n'avait jamais voulu en arriver là. Mais maintenant, les dé
is je te jure que je pensais vraiment bien faire. Peut-être que c'était une erreur.
stesse. Il était clair que son frère avait agi par amour,
justifie pas