Sous l'emprise d'un bad boy
. Sara, incapable de supporter plus longtemps, s'excusa poliment et regagna sa chambre. Là, dans l'intimité de sa pièce,
urante la saisit. Jamais elle n'avait ressenti un tel mal.
s petites douleurs, soulagée par les toniques concoctés par Lindsey ou des bouillottes bien chaudes. Après quelques heure
porte s'ouvrir et des pas
rant que la douleur s'atténue. Les voix de ses sœurs se rapprochaient, flottant dan
ait, Lindsey ? Elle n'a pas
e une combinaison un peu modifiée, » répliqua Lindsey d'un ton léger, agitant nonchal
u m'as empoisonnée ! » réussit-elle à articuler, enfonçant l'oreille
Lindsey en levant les yeux. « Ce n'était
ncer les sourcils à Sandra. Cette dernière, toujours plus attentive, jeta un coup
yeux suppliants, cherchant une répons
eu, tu te sentiras mieux au ma
ion, n'est-ce pas ? Elle devait dormir, et peut-être que tout cela disparaîtrai
braises mourantes dans la cheminée illuminant faiblement l'espace. Le thé, posé à côté de son lit, avait
, elle se réveillait dans une souffrance fulgurante. Le moindre de ses muscle
que fibre de son être se tordait. D'ordinaire, les douleurs restaient c
de Lindsey. Sara réalisa, horrifiée, que c'était sans doute la ca
reiller, elle laissa éch
e quelque chose. Si elle ne le faisait pas, Sara savait que la mort
les flammes brûlant en elle. Elle n'eut pas le courage d'aller chercher sa robe de chambre, pourtant posé
haque pas était une épreuve, un effort monumental. Elle traînait les pieds, en proie à d
ave et masculine retentit
allez b
instinctivement contre le mur. La peu
. Pas
, avait oscillé entre ennui et mépris. Il ne l'avait pas impressionnée, et de toute évidence, elle ne l'ava
taine inquiétude. Une inquiétude qu'elle ne voulait pas. Sara n'avait besoin de perso
rtir. Mais alors qu'il s'approchait, une vague de chaleur encore plus i
va-
Pourtant, cette souffrance était insignifiante comparée à la tourmente qui envahissait tout son corps. C'était comme si sa condition empirai
ôlable de l'attirer à elle, de le toucher, de le sentir plus près encore. Cette impulsion la terrifiait, mais c'était comme si quelq
amant ce que son esprit rejetait farouchement. Elle voulait se pencher contre lui, enfouir son visage dans
son geste était étrange. Puis, son regard retourna à son visage, et Sara savait, au
bien, mademoiselle...
rouver un répit. En entendant ses mots, elle s'appuya encore plus fort contre le mur, essayan
mais la seule chose qui franchit ses lèvres fut un av
ton rugueux de sa voix, mais il n'en tint pas compte. « Laissez-moi vous a
pur gentleman, mais il ne savait pas à quel point ce contact simple la tourmentait. Sa main brûlait c
geait depuis son bras, si intense que cela en devenait insupportable. C'était un conta
ement, visiblement surpr
e. Elle devait se réfugier là, trouver un endroit où s'effondrer sans être
Walton ? » Il n
ravers ses dents serrées, craignant que si ell
s et aux portes pour se soutenir. Chaque pas était une torture. Sa chamb
Walton ! » insi
it ravivé une brûlure qu'elle tentait de contenir. Ce n'était plus de la douleur. C'étai