Sous l'emprise d'un bad boy
ue son résonnait en elle, et chaque battement laissait une empreinte presque physique sur son corps. Sara sentit le poids de ces échos s'enfoncer dans son ventre
elle l'aurait fait. Ce moment du mois était toujours le pl
les pendant plusieurs jours avant le début de ses menstruations. C'était la misère totale. U
lait, rarement le soir, quand elle aurait pu s'isoler dans sa chambre et s'étendre sur
main
ner. L'heure de descendre rejoindre tout le monde. Elle expira un souffle tremblan
uvait l
amille aussi. À part Lindsey, bien sûr, qui la guettait av
nconfort habituel ?" demanda Lindsey, un sour
sait allusion, et elle ne supportait pas cette insinuation. Sa sœur pensait que
ement. Non, ça n'avait rien à voir avec eux. La su
elle n'avait qu'une légère gêne. Elle survivrait. Elle passerait la soirée. Demain, elle pourrait s
oment de laisser un
tu n'essaies pas juste d'éviter ce dîner ?" insist
monter en elle. "Pourquoi devrais-je redouter un dîner a
a les épaules. "Tu sais ex
elle, Lindsey,"
peut-être..." Elle laissa sa phrase en suspens, scrutant Sara
aussi que Sara
la sœur fade. Elle n'avait ni le charme de Sandra, leur aînée, ni l'esprit effro
pour cela qu'ils formaient un si bon couple. Lindse
tout le monde dans leur village, elle avait t
s ses parents, Char, ils sont insupport
ents," répondit-elle ave
ifla. "N'es
le liquide sombre qui s'y trouvait. Des brins d'herbes flottaie
plus solidaire. Sandra, elle, avait approuvé ce mariage, voyant en Billy
c un sourire moqueur. "Mais je te manquerai, surt
Ne reste pas là, à te faire
déjà réglée. Elle et Billy resteraient à Brambledon. C'était chez eux, leur m
out ce qu'elle voulait, c'était une vi
que gorgée était un effort. Elle avait goûté bon nombre de
e ce truc ?" murmura-t-
in de se débarrasser de l'amertume. Rie
père, Lindsey avait pris en main le rôle de guérisseuse dans le village. Mais cette fois-
sfait, récupérant la tasse vide. "Tu te se
le ton de Lindsey, une légère
regardait dehors, espérant capter une brise qui adoucirait la lourdeur de la pièce. Elle sentait un malaise croissant, comme si son corps réagissait
re. Elle posa une main sur son abdomen, là où le malaise commençait à s'installer, de plus en plus insistant. Elle n'av
urmura-t-elle pour elle
te passe. Après tout, ce n'était qu'une autre de ces périodes du mois où elle devait endurer la douleur, en silence, sans se plaindr