La femme du boss est devenue mon épouse
s avaient besoin d'une pause. Une véritable évasion loin du bureau, loin des regards curieux de leurs collègues, et loin de la pression incessante
eau pour terminer une dernière révision de leur dossier,
'échapper, même si ce n'est que pour une journée. On doit s
rna la tête vers elle. Il voyait dans ses yeux à quel point elle était épuisée par leur double
a-t-il. On mérite une pause. P
e détendant enfin après des
qu'on pour
tous deux envie de quelque chose de s
je connais, à environ une heure de route. C'est tranquille, on pou
laire s'illumi
fait. Demain,
-
petite maison nichée au cœur de la campagne. La route serpentait à travers des collines verdoyantes,
urire de satisfaction. Il n'y avait pas de réunions, pas de mails, pas de dossiers à
a ville, dit-elle en se tournant vers Al
oup d'œil à Claire avant
avait besoin. Un peu de calme,
de toutes sortes poussaient en désordre charmant. La maison était modeste mais chaleureuse, avec des vol
re et s'étira, respirant pro
urmura-t-elle. On dirait
détendue. C'était ce qu'il voulait, un moment où ils pouv
r de bois et de lavande. Le salon était petit mais confortable, avec un cana
plaisanta Claire en posant son sac. C
isation, rétorqua Alex avec un sourire en coin. Mais pour au
à travers les champs, s'arrêtant pour observer les papillons voltiger de fleur en fleur, et s'allongèrent dans l'herbe hau
eau claire scintillant sous les rayons du soleil. Claire enleva ses chaussures e
îchissant, dit-elle. Vi
ontact avec l'eau froide les fit frissonner, mais le plais
, et la petite cuisine rustique devint le théâtre de leurs rires et de leur maladresse. Alex, qui se voulait un c
la cuisine, dit Claire en riant, s
e, le crépuscule peignant le ciel de teintes roses et violettes. Le silence de la
it, Claire posa son verre et se tourna v
ussi paisible, dit-elle doucement. Avec toi
on regard plon
rends tout plu
e loin du monde. Ils avaient l'impression d'avoir enfin trouvé un endro
ulée autour d'eux, regardant les flammes danser doucement dans l'âtre. Cla
ent de temps à essayer de tout cacher, mais ici.
n front, ses doigts glissant
er. C'est juste nous, et
créé un espace où ils pouvaient enfin se retrouver, loin de tout. C'était comme s'ils avaient laissé derrière eux toutes les complicatio
-
les rideaux. La campagne semblait encore plus paisible après une nuit de repos. Ils prirent u
faire ça ? demanda Claire,
une gorgée de son c
as. Il suffit de dire le mot, et
retourner en ville. L'idée de reprendre leur routine normale leur pesait légèrement, mais ils savaient qu'ils ne rentraient pas le
r le voyage de retour, Claire jeta un dern
doucement, comme une prom
Alex, ses doigts effleu
n'était que le début de leur voyage ensemble, un voyage où ils seraie
ient encore les derniers moments de leur évasion. Chaque kilomètre les rapprochait un peu plus de la réalité, mais cette fois, l
ents en béton, et les routes sinueuses se transformaient en rues droites et bruyantes. Claire re
ouvenirs, murmura-t-elle, presque pour
n sur le volant, l'autre reposa
tu veux, Claire. Peu importe combien le monde extérieu
ant, comme une ancre à laquelle ils pourraient toujours se rat
Alex. P
nt précis, elle se sentait plus proche de lui que jamais. Leurs murs étaient tombé
-
ssis dans la voiture, sans se presser de sortir. Le moteur éteint, le silence e
manda Claire, brisant
es murs de leur vie professionnelle se mêlaient à leur relation personnelle. Mais une part de lui savait
, répondit-il final
rant dans son appartement, elle laissa échapper un soupir de soulagement. Malgré la t
thé, dit-elle en se di
elle de leur maison de campagne, mais elle n'était pas moins intime. Il observa Claire préparer le thé avec
dans la cuisine, je me dis que nous pourrions e
tasse de thé, ses do
s, je me demande combien de temps encore on va pouvoir jongler entre
arées, mais il sentait que cela devenait de plus en plus difficile. Leur relation évol
ire, admit-il enfin. Mais je pense que, tant
thé réchauffant leurs mains. Claire posa sa tête sur l
a-t-elle. Peut-être qu'on peut vraiment gér
ucement ses cheveux. Ce week-end a prouvé qu'on pe
Ils avaient partagé leurs inquiétudes et leurs
-
ade avait laissé une marque, un rappel constant que, même au milieu de la pression et des responsabilités, ils avaient
fois, ils évoquaient leur prochaine escapade, faisant des plans pour un futur où ils n'auraient plus besoin de se c
-
l'attendait dans le couloir. Ils avaient décidé de ne plus rentrer ensemble tous les j
? demanda-t-elle
, répondit-il en fermant
dans la lumière tamisée de la ville en fin de journée. Le
uelque chose, dit s
a tête vers e
? Et à qu
re un peu plus... nous-mêmes au bureau. Pas tout r
avait raison, mais il s'inquiétait des réactions possibles. Cependant,
t. On mérite d'être plus libres, mêm
tête, satisfai
e, alors. Mais au moins, o
nt de la fraîcheur du soir. Leurs m