La femme du boss est devenue mon épouse

hones qui sonnaient, les discussions à mi-voix entre collègues, le claquement des claviers - faisaient ressortir encore plus l'intensité de ses pensées. Sa concentration n'était pas sur le rapport financier qu'i

s ne pouvaient plus simplement retourner à leur routine quotidienne. Chaque regard échangé au bureau portait une signification cachée, chaque sourire était ch

t. Ils avaient convenu de se retrouver après le travail, loin des regards curieux de leurs collègues et des politiques de bureau. Un dîner, dans un restaurant discre

n regard, elle leva les yeux et leurs regards se croisèrent. Pendant une fraction de seconde, le monde autour d'eux sembla disparaître. Ils échangèrent un sourire fu

quitter approchait. Alex avait fini son rapport bien plus tôt que prévu, mais il feignit encore de travailler, jetant des coups d'œil réguliers à l'horloge. Il savait qu'il ne devait pas ê

llègues et se dirigea vers la sortie. À l'extérieur, l'air frais du début de soirée lui fit du bien. Il m

es. Je te rejoins au p

eure-ci. Alex s'y dirigea à pied, profitant du calme après l'agitation de la journée de travail. La tension dans ses épaules commençait à s'apais

oup d'œil à l'heure sur son téléphone. Claire ne devait plus tarder. Il sentit une nervosité familière se glisser dans son ventre, un mélange de hâte et d'appréhension. Leur relation était encore no

ui flottait légèrement autour d'elle avec la brise. Elle marchait d'un pas assuré, mais Alex pouvait percevoir, à travers ses mouvemen

e ? demanda-t-elle en

se levant pour l'accueillir. J

récente, il était encore émerveillé par le simple fait d'être avec elle, ici, en deh

anda-t-il, la

e parc pour marcher vers le restaurant qu'ils avaient choisi. Le soleil déclinait lentement, tein

ait un petit bistrot, intime et chaleureux, avec des bougies sur chaque table et des murs tapissés de photographies en noir et blanc. Il

Claire en s'installant. Je n'avais

é que c'était l'endroit idéal pour un... rend

les plats aux noms savoureux. Mais malgré leurs efforts pour se concentrer sur la carte, ils ne pouvaient s'em

re se pencha légèrement en avant

ilm d'espionnage, tu ne tr

it dou

veux pas que ça devienne trop compliqué, avoua-t-il. Je ne veu

t, ses doigts jouant avec

avons créée, juste pour nous. C'est comme si le reste du monde n'ex

ils pouvaient être eux-mêmes, sans les attentes et les jugements du monde extérieur. Pour ce soir

ournée, partageant des histoires sur leurs expériences passées. Claire raconta une anecdote hilarante sur un ancien collègue qui a

où Alex et Claire se dévoilaient peu à peu. Ils parlaient de leurs passions, de leurs rêves, mais aussi de leurs peurs. Ils étaient

roposa un dessert. Claire, les yeux pétillants, s

lle avec un sourire en coin. Et puis, c'est p

e légèreté et intensité. La tension de devoir cacher leur relation rendait chaque geste, chaque mot

et Claire se pencha en avant p

s'exclama-t-elle, les

ceau de la tarte et ne put s'empêcher d'être d'accord. Le mélange du citr

un autre but. Au-delà du plaisir de se retrouver en dehors du cadre formel, ils devaient parler de ce que tout cela signifiait pour eux. Ce n'était pas simplement une question d'attracti

t observa Alex, ses yeux brillants d

erveusement avec sa serviette. Où est-ce que tu te vois.

tendue. Alex inspira profondément, sachant que ce moment viendrait, mais ne s'attendant p

c'est que je veux te connaître encore plus, te découvrir au-delà de ce que nous partageons déjà. Mais... je sais aussi que l

ion pouvait entraîner des complications, non seulement pour eux, mais a

être claire : je ne veux pas que ce soit juste une aventure secrète. Si on continue, je

simulée dans les coins sombres d'un restaurant. Non, elle voulait quelque chose de plus, de solide. Et c'était aussi ce qu'il voulait, m

cial, et je ne veux pas que cela se perde à cause de la pression extérieure. Nou

ment les autres, dans le bureau, réagiraient s'ils savaient. Peut-être que certains collègues ne prêteraient pas attention, mais d'autres

uvait dans une rue pavée, bordée d'arbres aux feuilles déjà jaunissantes, signe que l'automne approchait. Ils marchaie

ieuse, ça fait longtemps que je n'ai pas ressenti ça. Cette exci

elle, ses yeux doux et

eau. Mais j'aime où ça nous mène. Chaque moment avec toi me fai

Le silence entre eux n'était pas pesant, mais au contraire, rempli de la présence apaisante de l'autre

ntre deux bâtiments anciens. Alex se pencha contre un lampadaire en fer forgé, r

t. Quand j'étais enfant, je croyais que

gnit, sourian

beaucoup de vœ

ir un chien ou réussir mes examens, mais parfois... parfois je souhaitais quelque ch

rd vers lui, ses yeux remp

eut-être réalisé, ajouta-t-el

rocha doucement, se plaçant juste en face d'elle, leurs visage

vœu s'est aussi réalisé, dit-il doucement,

té de leurs émotions. Puis, doucement, Alex tendit la

ce contact intime, avant de poser sa main sur la sienne

lacé par le battement régulier de leurs cœurs. C'était un de ces instants où tout paraît simple et évident, où

délicat, empreint de promesses silencieuses. Ce n'était pas un baiser passionné, mais plutôt l'expression d'

é par une lueur tranquille. Elle se blottit contre Alex, posant sa tê

a voix empreinte de cette mélancolie douce-amère que l'on

rotecteur autour d'elle. Mais on aura d'autres mom

tante de l'autre. C'était un moment suspendu dans le temps, un de ces instants qu'ils sauraient chérir long

une tranquillité complice. Claire et Alex, main dans la main, savoura chaque dernier ins

s'arrêtèrent. Le moment du départ approchait,

ire, ses yeux encore brillant

Alex avec un sourire sincère. Je n'aur

tout aussi chargé de tendresse. Puis, Claire monta dans sa voi

, dit-elle

x, en reculant légèremen

oiture, un sourire apaisé sur les lèvres. Il savait que demain apporterait de nouveaux défis, qu'ils devraient continuer à jongler entre leur re

sur ses tâches habituelles. Mais il sentait toujours la présence de Claire à quelques mètres de lui. Ils avaient tous deux pris s

arqué un tournant. Ce n'était plus simplement une attraction ou une curiosité. C'était une connexion profo

rent brièvement. Dans ce regard, il y avait un mélange de complicité, de promesses et d'excitation pour ce qui al

ils étaient prêts à affr

avec les attentes professionnelles tout en alimentant discrètement leur relation naissante. Ils échangeaient des sourires furtifs, des regards complices, d

ntrat avec un client majeur qui nécessiterait un engagement total de l'équipe. Claire et Alex allaient devoir collaborer étroitement sur ce dossier, un projet ambitieux mais extr

é à maintenir leur relation secrète tout en ré

soudain trop petite. Ils étaient conscients que la moindre erreur ou distraction pourrait éveiller les soupçons de leurs collègues. Pourtant, la tens

nda Claire en feuilletant les dossiers

oui, répondit Alex en croisant son regard avec une intensi

cet équilibre était fragile. Ils ne

étails et à peaufiner des présentations. Mais à mesure que la pression augmentait, la tension entre eux devenait plus difficile à ignorer. Ils ét

diquait déjà 21 heures. Le reste de l'équipe était parti depuis longtemps, et ils éta

, murmura-t-elle, ses yeux un peu

e leva, ressentant lui aussi l

t-il doucement. On

qu'ils se dirigeaient vers la porte, Claire

perdre dans ce projet ? Je veux dire, ça devi

ue cette situation leur imposait. Il s'approcha doucement d'elle e

e te promets que ça en vaut la peine. Une fois ce projet term

avait raison, mais elle sentait aussi que la pression constante, le

murmura-t-elle. Et si tout c

un instant, pesant ses

a ensemble. Quoi qu'il

fatigués, certes, mais leur connexion restait indéniable. **Dans un élan d'émotion**, Ale

ment, les cœurs battant à tout rompre, avant de réaliser que ce n'était qu'un courant d'air qui avait fait bouger une

ir, murmura Claire en essa

re eux avait encore renforcé leur lien, mais aussi mis en lumière les risques qu'ils co

lle et le projet professionnel. L'équipe ne semblait rien remarquer, et Claire et Al

e, Sophie, commença à poser des

x, non ? demanda-t-elle avec un sourir

anique monter en elle, mai

semble, répondit-elle, essa

e simple échange mit Claire en alerte. Si Sophie avait remarqué leur proximité, qui d'autre pourrai

-là, après avoir quitté le bureau, ils se retrouvèren

re Claire en remuant nerveusement son café avec une petite cuil

t qu'elle avait raison. Leur secret devenait de plus en plus

it-il doucement. Pas avec tout le monde, mais a

ir à cette idée un mo

ande échelle, ça pourrait compromettre nos carrières,

main de Claire, son rega

Je ne veux plus cacher ce que je ressens pour toi. Si nous d

e pouvaient plus continuer comme ça indéfiniment, mais l'idée de tout révéler la terrifiait

mide, acceptant enfin que leur avenir serait