Compagnon du destin
Le lendemain matin, le son de mon réveil me sort de mon sommeil, mais avant même de l'éteindre, un large sourire s'étale sur mon visage. Je me redresse lentement dans mon lit, regardant mes mains comme si je pouvais encore sentir la chaleur de sa fourrure. Cette sensation de picotement dans ma poitrine persiste, et un rire silencieux monte en moi.