Compagnon du destin
?!" m'appelle Dylan en claqu
a valise sur le gravier. Je vois mon frère transpirer sous le soleil. Il ajuste son t-shirt noir avec ses mains fines et je ne peux m'empêch
ine. Avant de monter dans la voiture, je jette un dernier regard à la maison. C'était sympa, cet endroit tranquille. Heureusemen
un accident quand j'avais 6 ans. Dylan n'avait que 7 ans à l'époque... Il a dû grandir trop vite pour s'occuper de nous. Quand il a
semble excité de retourner sur le campus. "Tu sais que j'a
sur le visage. Tout à coup, il appuie brusquement sur le frein et la voitur
Olivia ?" Dylan me
tends-toi. Elle a juste utilis
porte ce qu'elle raconte, Lenny et moi on est juste... amoureux. Pas de
perdue. "Ok, ok, calme-toi. J
ème. Je suppose qu'il est juste encore marqué par tout ce qu'on a traversé. C'est comme s'il avait
les bâtiments familiers. Je remarque que Dylan, lui, semble tout excité. Il tente de cacher son enthousias
. Elle me l'avait donné juste avant... avant l'accident. Une vague de tristesse me traverse.
es pensées. Je hoche la tête et le suis jusqu'à mon dortoir. Il dé
suite... je vais probablement voir Lenny", admet-il e
, c'est pour ça que tu as insis
é ! Comme si tu n'allais pas
r me monter aux joues. "Je va
udain avec une pointe d'inquiétude. "Tu veux que je lui règle
doucement. Pauvre Dylan, il s'inquiète toujours tr
our être sûr", dit-il en regardant mon emploi
nce en souriant, satisfaite
parents, il a dû endosser un rôle bien trop grand pour lui. Pendant des années, je l'ai vu essayer d'être fort, mais je savais qu'a
le depuis presque un an maintenant. Il est dans ma promo, et il a toujours été incroyablement patient avec moi. Même après tout ce temps, on n'a pas encore eu
dra probablement m
de nervosité qui me donnait des frissons. Mon cœur battait comme s'il était en pleine course, et je n'arrivais pas à comprendre pourquoi. Pourtant, je connaissais tout le monde ici, non ? Alors,
chose m'attendait de l'autre côté de cette porte. Une fois arrivée devant, je pris une profonde inspiration et entrai lenteme
te. Dès que nos regards se croisèrent, c'était comme si le monde s'était arrêté de tourner. Plus rien n'existait autour de nous. Jus
urer entièrement. Sa mâchoire bien définie et ses lèvres... ces lèvres... Mon esprit vagabondait, et avant même de m'en rendre compte, j'imaginais déjà
orte combien je me forçais à détourner le regard, il me tenait captive par cette simple présence. Ses lèvres s'étirèrent en un sourire.
voix familière
rère, fit irruption dans la salle
plus fort, comme si on m'avait surprise en flag
Quoi ? Je t'avais dit q
bien que gênée par m
clin d'œil. "Et je n
on entrée, toujours aussi rayonnante. "Salut, Li
inrent immédiatement à l'autre garçon, celui qui