Au delà des apparences
qui suivra ceux qui se rendent dans la gueule du loup. Une chance sur deux de s'en sortir, un unique choix. Celui de l'évolution, de l'intégrat
'entretenais moi-même, en m'accrochant de tout mon être à ce que j'aimais le plus au monde mais qui me déchirais le coeur. Ne pas abando
souviens, m'être visualiser plusieurs fois plus grande, plus vieille, et pensais de tout mon coeur, "quand tu seras adulte, ce sera différent. Tu pourras te mettre devant ton beau père, et protéger ta mère de ces co
cause du tourment ou de la mort. Au bout du compte de tout cela, tu fini par te rendre compte, que t'ai fais bien plus de mal que les autres ont pu t'en faire. Que tu as entretenu ton jardin des enfers, et qu'au lieux d'entretenir les plus belles fleurs, et
pportable, ni envisageable que tu redevienne cette personne de souffrance, et tu fini par t'en dé
leur. Quand j'entretenais ma propre douleurs émotionnelle, je vivais des jours interminable de douleurs physique dans le haut de mon dos. Une partie de mon corps me faisait souffrir le martyre, jusqu'à m'en épuisé autant moralement que physique
t simplement terrifié par qui j'étais, car je ne me comprenais pas encore. Ce que je savais par contre, c'étais qu'il y avait quelque chose de différent chez moi. Je n'étais pas la seule à le savoir. Plusieurs fois j'ai passé des examens clinique, médicaux et à chaque fois c'était la même chose. On me trouvais que
'on voulait me priver d'une part de moi-même. Comme si on cherchait à faire t
ôpi
omme si une carapace s'était formé en lui ou autour de lui. Je le voyais comme un animal sauvage que j'efforçais à apprivoiser. Il ne m'écoutait plus, mais je sentais au fond de moi qu'il essayait de me dire quelque chose. Quoi? J'ai passé un IRM et on lui a diagn
omme une maladie, parce qu'elle fait partie de l'évolution du génome. Et cela voyez vous c'est une chose qui dérange. Me s
Les choses ont commencé à se dégradé et à devenir louche quand, l'on a choisit de me changer de neurologue sans mon a
sentais comme un cobaye en cage, mon état physique se détériorait, je passait mon temps à dormir ou être malade. J'ai commencé à faire des crises d'angoisse de plus en plus violente, mes cauchemars et mon mal être s'intensifiait de plus en plus. J'avais des pensées suicidaire. Bref mon corps n'était pas plus détendu ou mieux entretenu bien au contraire. Jusqu'au jour où j'ai décidé de vérifier l'effet du produit sur mon organisme en faisant une prise de sang. En voyant les résultats et en les montrant en mon médecin traitant, j'ai compris que mon corps rejetait le produit, qu'il cherchait à tout prix à
uleur supportable, c'est humain ça? C'est comme si l'on improvisait sur moi, quand j'en parle j'ai encore beaucoup de mal à l'accepter. Accepter d'avoir pu un jour devenir un vulgaire traitement d'expérience car je le sais, c'est ce que j'ai été. Jamais on s'e
l'augmentation de son salaire. Il s'en est même prit à mon docteur dans une lettre, et pour lui les résultats de ma prise de sang sont tout à fait normaux. J'ai pris contact ave