Ma raison de vivre
e nulle part, déchirant la quiétude de leur relation autrefois harmonieuse. Un
s même pas écouter ce
one. "Je t'écoute, Claire. Désolé, c'est juste
encore cette excuse ? Tu passes plus
proches de Claire. "Je sais, je sais. Mais cette pro
'appartement, un écho amer de
s'accumulaient sur Antoine. Son superviseur,
célérer le projet. Les attentes sont élevées, et nou
t le poids de ces responsabi
ine. Entre les longues heures au bureau et les tensions à la mai
le salon, visiblement contrarié
t une nouvelle confrontati
les dur, mais nous avons besoin de temps ensemble. Je me sens
se formant dans sa poitrine. "Je suis désolé, Clai
mencèrent à planifier des soirées spéciales, à se consacrer du t
midi, alors qu'Antoine supervisait une réunion, une c
projet, pas de vous disputer comme des enfants !"
ent. Antoine se rendit compte que son propre stress influen
s nous devons rester concentrés sur notre objectif commun. Nous
ent la tête, reconnaissant la sa
satisfait. Claire l'accueillit avec un sourire chale
. "C'était difficile, mais je pense que nous sommes sur
journée, retrouvant la complicité qui avait été éclipsée
surmonter les défis qui se dressaient sur leur chemin. Leurs disputes se transf
attentes avec calme et détermination. Sa promotion tant convoitée devint une réalité, mais
oine savait qu'il pouvait surmonter n'importe quoi. Et ensemble, ils continueraient à éc
ophie. Ses journées s'étiraient sans fin, laissant derrière lui de
se retrouva à errer dans les rues, perdu dans ses pensées. Il savait qu'il aurait dû
esprit était constamment envahi par des images de Sophie, son rire, son sourire. Chaque fois qu'il tentait de se plonger dans son
tré et la tentation constante de fuir vers Sophie. Mais plus les jours passai
ment de se préparer. Son téléphone sonna, affichant le nom de Sophie. Il hésita un instant
Sophie d'une voix douce d
dit-il distraitement, en e
u veux qu'on se retro
savait qu'il devrait décliner l'invitation et se conce
où veux-tu qu'o
, reconnaissante. « Que dirais-tu d
« Parfait, je te rejoins là
ui, laissant derrière lui une montagne de r
e table, un sourire radieux illuminant son visage. Il s
lle d'un ton joueur lorsqu
e son manque de ponctualité. « Désolé, j'ai e
nt un regard compréhensif. « Ne t'inquiète p
ête lui rappelait qu'il avait des obligations qu'il négligeait. Il chas
tait complètement absorbé par la présence de Sophie, oubliant le m
éalisation commença à percer à travers le brouillard de son infatuation. Il savait qu'il ne pouvait pas co
ns son estomac. Il savait qu'il devait faire un choix : continuer à se laisse
sombre, et Antoine resta là, seul avec ses pensées to