Ma raison de vivre
lé. Elle savait que quelque chose n'allait pas, mais elle n'osait pas l'admettre, ni même le nommer. C'était com
des quais, Sophie sentit le poids de ses pensées devenir insupp
'on parle », dit-elle
yeux empreints d'une inquiétude grandis
ution. « Je... je ne sais pas comment dire ça, mais..
un ciel serein. Il sentit son cœur se serrer douloureusemen
ta-t-il, sa voix à pe
rouillant sa vision. « Oui, des doutes sur nou
le quitter, mais il savait que ce ne serait pas juste. Il savait qu'il avait négligé tant de choses
-il enfin, sa voix brisée par l'ém
opres larmes roulant silencieusement sur
éparant désormais. Le vent soufflait doucement, portant avec lui le murmure de le
interaction était teintée de malaise, de regrets non exprimés. Antoine se retrouva plongé dans
s son travail. Il passait des heures supplémentaires au bureau, espérant trouver un réconfort dans le
uel point il était seul. Les bruits de la ville résonnaient faiblement à travers la f
ce qu'ils avaient été et ce qu'ils avaient perdu. Mais même dans ses rêveries le
er dans son travail, espérant trouver un refuge dans la routine familière de ses tâches professionn
teur. Il se sentait épuisé, vidé de toute énergie, mais même dans sa fatigue, il savait qu'il ne pouvait pas continuer
lourd de préoccupations. Depuis des semaines, son obsession pour Sophie l'avait poussé à négliger ses amis et à comp
rage d'affronter une nouvelle journée. Le bruit strident de son téléphone interrompit s
n moment qu'on ne s'est pas parlé
les appels et les messages de Lucas ces derniers temps, trop ab
suis vraiment occupé en ce mom
s isolé de ceux qui lui étaient chers. Mais il n'avait pas le t
re de son patron, M. Dupont. Il savait qu'il était en retard et
toine, dans mon bu
t son patron dans son bureau. Il savait ce qui l'attend
a la porte derrière eux et s'assit derriè
u'employé, mais ces dernières semaines, votre performance a été en
vait toujours été un bon employé, mais ces derniers temps, son
ue je n'ai pas été à la hauteur récemment. Je vai
semblant presque ré
e ferez, Antoine. Sinon, je crains que nous
e en garde. Une fois dehors, il sentit le poids de ses responsabilités peser
tait désespérément de se concentrer sur ses tâches. Mais son esprit revenait sans ce
parait à rentrer chez lui, Antoine re
, est-ce que tu as u
. Malgré tout ce qui s'était passé, malgré les avertissements de son patro
Bien sûr, Soph
qu'Antoine attendait, l'anxiété montait en lui. Que voulait-elle lui dire
e. Elle s'approcha de lui avec un sourire chaleureux, mais il pouvait voir que
, je suis contente q
e trouver les mots alors qu'il la
pense qu'il est temps que nous
s qu'il écoutait chaque mot qu'e
et je tiens à te dire que je t'apprécie énormément en ta
p de poignard en plein cœur. Il savait qu'il devrait s'y a
** : Je c
murmure, sa déception étouffant t
olée, Antoine. Je ne vou
enne, mais il la retira instinctiveme
e ta faute. C'est à moi de g
e compassion, mais il détourna les ye
lle maintenant. Mais sache que je serai
sées tourmentées. Il avait perdu des amis à cause de son obsession pour elle