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La femme d'affaire milliardaire

Chapitre 3 03

Nombre de mots : 1457    |    Mis à jour : 12/05/2024

aire frappa à la porte mettant un terme à mes rêveries. Elle entra sur une autorisation de ma part et semblait particulièrement mal à l'aise. Ses yeux jetèrent un rapide coup d'œil à la pièce

ois, la décoratrice d'intérieur avait affirmé que cela ne faisait pas assez professionnel. Je

atinée de septembre, la fin des vacances était survenue depuis un certain temps déjà, pourtant cela n'empêchait pas à ma secrétaire de garder un teint parfaitement hâlé. Elle semblait vouloir me dire quelque chose, elle

s prête pour le début de

aimais pas faire ce genre de chose, je préférais m'occuper de

ablement méchante. Je lui faisais indéniablement peur du haut de mes vingt-trois ans alors qu'elle en avait cinq de plus. Un coup d'œil sur elle, de haut en bas de derrière mon imposant bureau,

ssaire de vous trouver

comme concept. Mon entreprise avait vraiment pri

ense que vous l'avez constaté ces derniers t

Je lui fis une petit sourire car je l'avais suffisamment taquiné, il était temps d

n que le déf

J'appréciais le travail qu'elle fournissait

ats attendent déjà da

elais pour lui poser une question. Je le demandais si l'homme que j'avais croise faisai

r, n'y aurait-il pas un homme

ent dans son calepin. Elle savait bien que je n'avais pas vraiment de

Jenson. Je crois que c'est bien le seul sinon nous av

ait étrangement bien. Je pass

n âge? Montre

ier amour mais il n'avait pas le même nom. Ce premier amour qui m'avait profondément détruite et changer à jamais. Je l'

vingt-s

de blonde peroxydée. J'observais ses grands yeux marrons éca

it pas ce que je m'apprêtais à dire. Le plus tranquillement d

les autres, je ne re

feu et je trouva

ait une sorte de pile ou face, prendre des risques de temps à autres ne faisait pas de mal. Madame Brown devait désapprouver ma manière de fonctionner mais je n'en avais que faire. En effet, il faut vivre pour soi et non selon le regard des autres. Si je pouvais é

rire légèrement en pensant au modèle de voiture miniature que j'avais offerte à mon neveu Évan. Je m'arrêtais instantanément et repris mon sérieux au retour de Madame Brown avec le fameux Tom Jenson. Je le détaillais des pieds à

'air de prendre soin de lui ou en tout cas il avait pris le temps de se préparer pour l'entretien. Tom observait la pièce avec des yeux ronds et fascinés. Je comprenais parfaitement son admiration, moi aussi j'arrivais encore à être admirativ

Brown, laissez-

s'asseoir sur la cha

en lui serrant sa

a amusant de donner ce genre de sentiment aux g

és, en voilà une chose peu banale. Je ne pouvais m'empêcher d'avoir un sourire ironique, je sa

étais stressé d'arriver en retard et je

l me regarda sans bronch

je vous écoute présentez-vous et convain

iment, j'avais l'impression de voir mon premier amour, la

secrétariat puis j'ai travaillé cinq ans dans une petite entreprise.

e co

oir quitté ce

ient souvent

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